Urgence climatique : la cumbre de Belém appelle à l’action

Introduction : Le 6 novembre 2025, la ville de Belém au Brésil est devenue le théâtre d’une rencontre cruciale pour l’avenir de notre planète. À l’approche de la COP30 de l’ONU, des leaders mondiaux ont lancé un appel vibrant pour ne pas abandonner la lutte contre le changement climatique. Dans un contexte alarmant, le négationnisme climatique a été vivement critiqué, notamment celui de l’ancien président américain Donald Trump.

Ce qu’il faut retenir

La cumbre de Belém a rassemblé une trentaine de chefs d’État, soulignant l’urgence d’agir face au réchauffement climatique.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutiérrez, a averti que chaque fraction de degré supplémentaire entraîne des conséquences catastrophiques.
Un fonds de 5 milliards de dollars a été lancé pour protéger les forêts tropicales, avec des contributions de pays comme le Brésil, la Norvège et la France.
Les États-Unis, deuxième plus grand pollueur mondial, n’ont pas envoyé de délégation, suscitant des critiques sur leur engagement climatique.
Les peuples indigènes, gardiens de l’Amazonie, ont exigé d’être entendus dans cette lutte cruciale pour la planète.

Faits vérifiés

Des médias fiables tels qu’AFP et Reuters rapportent que la cumbre de Belém a mis en lumière les enjeux critiques du changement climatique, avec des leaders appelant à une action immédiate. Antonio Gutiérrez a souligné que l’inaction serait une « négligence mortelle », tandis que des fonds significatifs ont été promis pour protéger les forêts tropicales, essentielles à la régulation du climat.

Le détail qui fait réagir

La déclaration d’Antonio Gutiérrez, affirmant que « chaque fraction de degré signifie plus de faim et de déplacements », a particulièrement frappé les esprits, rappelant l’urgence de la situation climatique.

Réactions officielles et citations

« Nous devons choisir la science plutôt que l’idéologie. » — Emmanuel Macron, Président de la France, 6 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Cette cumbre représente un moment décisif dans la lutte contre le changement climatique, alors que la COP30 se profile. Les critiques envers le négationnisme climatique, notamment celui des États-Unis, soulignent un fossé grandissant entre les engagements et les actions réelles. La présence des peuples indigènes rappelle que la lutte pour le climat est aussi une question de justice sociale et environnementale.