23.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 3 Views 0 Comments

Une rapporteuse de l’ONU appelle à la levée de l’embargo américain sur Cuba

Mise à jour le 2025-11-22 19:00:00 : Alena Douhan, rapporteuse spéciale de l’ONU, demande aux États-Unis de lever l’embargo sur Cuba, soulignant ses effets dévastateurs sur les droits humains.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Alena Douhan, rapporteuse spéciale des Nations Unies, a déclaré à La Havane : « Je demande aux États-Unis de lever toutes les mesures coercitives unilatérales contre Cuba et les entreprises cubaines. »

Cuba subit un embargo commercial et financier des États-Unis depuis plus de 60 ans. Ce dernier a été renforcé par l’administration Trump de 2017 à 2021.

Depuis son retour à la Maison Blanche, Trump a intensifié la pression sur Cuba, la plaçant à nouveau sur la “Liste des États soutenant le terrorisme”. Cela complique le commerce et les investissements étrangers.

Douhan a exhorté les États-Unis à cesser d’utiliser la rhétorique des sanctions, affirmant que l’embargo est « la politique de sanctions unilatérales la plus longue de l’histoire », entraînant de graves conséquences pour les droits humains.

Depuis cinq ans, Cuba fait face à une crise économique sévère, marquée par une inflation élevée, des pénuries et des coupures d’électricité quotidiennes.

Durant sa visite, Douhan a rencontré divers acteurs de la société civile, sans rencontrer d’obstacles. Son rapport sera présenté en septembre 2026 au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Alena Douhan demande la levée de l’embargo américain sur Cuba.
Qui est concerné : Les citoyens cubains et les entreprises cubaines.
Quand : Déclaration faite le 22 novembre 2025.
Où : La Havane, Cuba.

Contexte

L’embargo américain sur Cuba a été instauré dans les années 1960. Il a été renforcé par des administrations successives, notamment celle de Donald Trump, qui a durci les restrictions en 2017. Ce climat de sanctions a des répercussions sur les droits humains, la santé et le développement économique de l’île.