23.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 3 Views 0 Comments

Un ancien enseignant défie un syndicat francophone sur ses droits linguistiques

Mise à jour le 2025-11-21 11:00:00 : Un ancien professeur se bat en justice pour obtenir des documents en anglais de son syndicat, soulevant des questions sur les droits linguistiques au Québec.

[Introduction 2–4 phrases : fait vérifié ; pourquoi cela vous concerne (argent/santé/sécurité/données/voyage/emploi) ; risque/urgence/incertitude ; prochaine étape si disponible. Aucune URL ici.]

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Un ancien enseignant conteste le refus de son syndicat de lui fournir des documents en anglais.
Qui est concerné : Les membres du Syndicat de l’enseignement de l’ouest de Montréal (SEOM).
Quand : Le jugement initial a eu lieu en juillet 2025.
Où : Québec, Canada.

Chiffres clés

Trois plaintes déposées par Chen Ning Li contre le SEOM.
Décisions du Tribunal administratif du travail (TAT) rejetant les plaintes : majoritairement en faveur des syndicats.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Possibilité d’une révision des politiques linguistiques des syndicats.
Démarches utiles : Suivre l’évolution du cas en Cour supérieure.
Risques si vous n’agissez pas : Maintien de l’inaccessibilité aux droits syndicaux pour les membres anglophones.
Exceptions : Cas spécifiques où l’usage de l’anglais pourrait être requis.

Contexte

Le refus du Syndicat de l’enseignement de l’ouest de Montréal (SEOM) de fournir des documents en anglais à Chen Ning Li est l’une des trois plaintes formulées par cet ancien professeur suppléant devant le Tribunal administratif du travail (TAT). En vain, le juge François Demers a rejeté les plaintes en juillet dernier, affirmant que le plaignant avait une bonne maîtrise du français.

Ce qui reste à préciser

Les implications d’une décision favorable pour Chen Ning Li sur les politiques linguistiques des syndicats.
Le soutien d’autres membres anglophones du SEOM dans cette affaire.