22.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 30 Views 0 Comments

Pologne : des ados de la «Szon Patrol» ciblent des filles ; des Polonaises répliquent en vidéos

En Pologne, des adolescents humilient des jeunes filles et diffusent les images. Des Polonaises répondent par des vidéos parodiques pour dénoncer ces pratiques.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Depuis l’été 2025, des adolescents abordent des jeunes filles dans les rues polonaises. Ils jugent leur tenue « provocante » et filment des scènes d’humiliation. Les vidéos sont publiées sur les réseaux sociaux. En réponse, des femmes diffusent des vidéos parodiques pour contester ces agissements.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : des adolescents interpellent et humilient des jeunes filles, puis publient les vidéos ; des femmes répliquent par des parodies.
Qui est concerné : jeunes filles et femmes exposées dans l’espace public, internautes polonais.
Quand : depuis l’été 2025, signalé le 8 octobre 2025.
Où : Pologne, notamment Varsovie et Cracovie.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : vigilance accrue pour les femmes et les mineures dans l’espace public et en ligne.
Démarches utiles : éviter d’interagir avec les auteurs, signaler les contenus aux plateformes, conserver des preuves.
Risques si vous n’agissez pas : exposition prolongée, diffusion et réutilisation non consentie des images.
Exceptions : non mentionnées dans la source.

Contexte

Le phénomène est décrit comme lié à des cercles masculinistes, surnommés « Szon Patrol ». Les interventions visent l’apparence jugée « provocante » de jeunes filles. La riposte passe par des vidéos parodiques publiées par des femmes pour inverser le stigmate.

Ce qui reste à préciser

Amplitude réelle du phénomène et organisation des groupes impliqués.
Réactions des autorités et des plateformes aux signalements éventuels.

Citation

« Depuis cet été, des adolescents circulent dans les rues de Varsovie ou Cracovie et interpellent les jeunes filles dont ils jugent la tenue ou l’attitude “provocantes”, avant de partager les vidéos de leurs séances d’humiliation sur les réseaux sociaux. En face, des femmes répliquent avec leurs propres vidéos parodiques. » — Libération, article du 8 octobre 2025.