Ukraine : Trump privilégie Moscou dans un plan de paix controversé

Introduction : Le 21 novembre 2025, l’Ukraine se retrouve face à un plan de paix américain qui favorise les revendications russes. Cette proposition, jugée inacceptable par Kiev et les Européens, soulève des inquiétudes quant à l’avenir du pays. Les tensions entre les États-Unis et l’Ukraine s’intensifient alors que Donald Trump semble se rapprocher de Moscou.

Ce qu’il faut retenir

Le plan de paix américain propose de céder 20 % du territoire ukrainien à la Russie.
Les forces armées ukrainiennes pourraient être réduites de moitié, une condition inacceptable pour Kiev.
Le président Zelenski se dit prêt à discuter avec Trump, malgré les critiques internes croissantes.
Les Européens rejettent le plan, le qualifiant de capitulation face à Moscou.
La situation sur le terrain reste tendue, avec des avancées russes notables en Ukraine.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables telles que France 24 et Le Monde, le plan de paix proposé par les États-Unis inclut des concessions significatives aux demandes russes, notamment la reconnaissance de l’annexion de territoires ukrainiens. Les responsables ukrainiens ont exprimé leur mécontentement face à ces conditions, soulignant qu’elles pourraient affaiblir leur position face à l’agression russe.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : la réduction de l’armée ukrainienne de moitié, une proposition qui pourrait transformer le pays en une vassale de la Russie, selon de nombreux analystes.

Réactions officielles et citations

« Ce plan est inacceptable et constitue une capitulation face à l’agression russe. » — Jean-Noël Barrot, Ministre des Affaires Étrangères, 21 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Ce plan de paix soulève des enjeux politiques majeurs, non seulement pour l’Ukraine, mais aussi pour l’Europe. La perception d’un abandon américain pourrait affaiblir le moral des Ukrainiens et renforcer les critiques internes contre le leadership de Zelenski. En outre, la réaction des Européens face à ce plan met en lumière les tensions croissantes entre les États-Unis et leurs alliés européens, qui craignent une escalade du conflit.