Trump déploie 300 gardes nationaux à Chicago, Portland bloqué

Introduction : Le 5 octobre 2025, Donald Trump a signé un décret pour envoyer 300 gardes nationaux à Chicago, alors qu’une juge fédérale a suspendu son ordre à Portland. Ces décisions interviennent dans un contexte de tensions croissantes dans des villes majoritairement démocrates, où les manifestations contre la police de l’immigration se multiplient.

Ce qu’il faut retenir

Donald Trump a ordonné l’envoi de 300 gardes nationaux à Chicago pour faire face à des troubles civils.
Une juge fédérale a bloqué le déploiement de la garde nationale à Portland, soulignant un contrôle judiciaire sur les actions présidentielles.
Chicago devient la cinquième ville démocrate à recevoir des troupes fédérales sous l’administration Trump.
Les manifestations à Portland sont alimentées par des tensions autour de la police de l’immigration.
Les critiques affirment que le déploiement de forces fédérales aggrave les tensions locales et détourne les ressources des besoins communautaires.

Faits vérifiés

Des médias tels que l’AFP et France 24 ont confirmé que Trump a signé un décret pour déployer des gardes nationaux à Chicago, tandis qu’une décision de justice a suspendu le déploiement à Portland. Les manifestations contre la police de l’immigration à Portland ont été intensifiées par ces décisions, illustrant une fracture politique croissante aux États-Unis.

Le détail qui fait réagir

Le déploiement de 300 gardes nationaux à Chicago, une mesure exceptionnelle, souligne l’escalade des tensions dans des villes déjà sous pression, suscitant des réactions passionnées de la part des citoyens et des responsables politiques.

Réactions officielles et citations

« Le déploiement de troupes fédérales irresponsables ne fait qu’attiser les tensions. » — Un responsable local, 5 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière les enjeux politiques et sociaux aux États-Unis, où le déploiement de forces fédérales est perçu par certains comme une réponse nécessaire à l’augmentation des violences, tandis que d’autres y voient une atteinte aux droits civiques. La décision de la juge à Portland pourrait également être interprétée comme un contre-pouvoir face à une administration jugée autoritaire.