29.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 7 Views 0 Comments

Tourisme en alerte : l’ONG ACLED déconseille la Caraïbe et l’Amérique latine pour 2026, évoquant une vague de violence liée à la militarisation régionale

L’ONG ACLED alerte sur une hausse des violences en 2026 dans la Caraïbe et l’Amérique latine, impactant directement la sécurité des voyageurs et le secteur touristique.

Les voyageurs et professionnels du tourisme sont directement concernés par l’avis défavorable d’ACLED sur la région Caraïbe-Amérique latine. L’organisation prévoit une montée des violences en 2026, sous l’effet de la criminalité et de la militarisation accrue. Cette situation pourrait entraîner des risques pour la sécurité, l’économie locale et la mobilité internationale. Les autorités et acteurs du secteur doivent se préparer à d’éventuels changements ou restrictions.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : L’ONG ACLED déconseille de voyager dans la Caraïbe et l’Amérique latine en raison d’une insécurité croissante prévue en 2026.
Qui est concerné : Voyageurs, professionnels du tourisme, populations locales.
Quand : Année 2026 (prévisions et alerte publiées le 29 décembre 2025).
Où : Caraïbe, Amérique latine (hors Antilles françaises).

Chiffres clés

2026 : année visée par l’alerte ACLED sur la hausse des violences.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Risque accru pour la sécurité des voyageurs et impact possible sur l’offre touristique.
Démarches utiles : Vérifier les recommandations officielles avant tout déplacement dans la région.
Risques si vous n’agissez pas : Exposition à des situations dangereuses, annulation de voyages, pertes financières potentielles.
Exceptions : Les Antilles françaises (Guadeloupe, Martinique) restent à l’écart de la zone d’alerte selon ACLED.

Contexte

L’ONG ACLED, spécialisée dans l’analyse des conflits, prévoit une intensification de l’insécurité en 2026 dans la Caraïbe et l’Amérique latine. Cette tendance serait liée à la pression américaine sur le narcotrafic et à la militarisation croissante des politiques publiques. Plusieurs pays, comme la Jamaïque, le Honduras, le Salvador, l’Argentine, l’Équateur ou la République dominicaine, adoptent des mesures répressives, parfois inspirées par les États-Unis. ACLED met en garde contre le risque de dérives graves, telles que des exécutions extrajudiciaires ou des disparitions forcées, surtout à l’approche d’élections. Les Antilles françaises bénéficient pour l’instant d’un report de la clientèle touristique, les voyageurs privilégiant la sécurité de ces territoires.

Ce qui reste à préciser

Évolution des mesures de sécurité dans chaque pays concerné.
Réactions officielles des gouvernements locaux et impacts économiques précis pour le secteur touristique.

Citation

« Les réponses militarisées au crime organisé sont susceptibles de se généraliser à mesure que les gouvernements adoptent des mesures répressives et que les États-Unis exercent une pression accrue. » — ONG ACLED