Torture et Hogra : L’Impuissance des Autorités Algériennes

Introduction : Le 4 novembre 2025, l’Algérie est secouée par des révélations choquantes concernant les violences infligées à Yacine Benchattah, ancien responsable du Croissant Rouge à Skikda. Malgré l’ampleur de ces accusations, les autorités restent silencieuses, laissant planer un doute sur leur volonté d’agir. Ce scandale met en lumière une réalité troublante au sein des institutions algériennes.

Ce qu’il faut retenir

Yacine Benchattah a été torturé et emprisonné arbitrairement, suscitant une vague d’indignation à travers le pays.
Aucune enquête n’a été ouverte par les autorités, malgré les accusations graves portées contre des hauts responsables.
Ibtissem Hamlaoui, proche du Chef de l’État, serait impliquée dans ces abus, exacerbant la colère populaire.
Les forces de sécurité semblent plus préoccupées par la répression de la critique que par la lutte contre la criminalité.
Le silence complice des institutions remet en question leur intégrité et leur engagement envers les droits humains.

Faits vérifiés

Des médias tels qu’AFP et Le Monde ont confirmé les allégations de torture et d’arrestation arbitraire de Yacine Benchattah. Les témoignages recueillis révèlent des pratiques inhumaines au sein des brigades de gendarmerie, illustrant une dérive inquiétante des droits humains en Algérie.

Le détail qui fait réagir

Le récit de Yacine Benchattah, qui évoque avoir été dénudé et affamé pendant sa détention, a choqué l’opinion publique et soulève des questions sur la dignité humaine en Algérie.

Réactions officielles et citations

« Ce qui se passe est inacceptable et doit être dénoncé » — Abdou Semmar, Journaliste, 4 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Ce scandale met en exergue une crise de confiance entre les citoyens et les institutions algériennes. Alors que le pays aspire à un changement, la persistance de telles pratiques rappelle les heures sombres de son histoire. La vidéo de Yacine Benchattah est devenue virale, attirant l’attention sur la nécessité d’une réforme profonde des services de sécurité et de justice.