29.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 43 Views 0 Comments

Thierry Marx lance une école de cuisine à Lille : un projet innovant

Introduction : Le 20 septembre 2018, Thierry Marx, chef étoilé, et Bernard Gérard, maire de Marcq-en-Baroeul, ont annoncé l’ouverture d’une école de cuisine à Lille. Ce projet ambitieux vise à former des personnes éloignées de l’emploi, en leur offrant des compétences précieuses dans le secteur de la restauration. Une initiative qui pourrait transformer des vies et redynamiser le marché du travail local.

Ce qu’il faut retenir

Une école de cuisine gratuite, ouverte à tous, y compris aux personnes sous-main de justice.
Des formations de huit semaines, alliant théorie et pratique, suivies d’un stage en entreprise de trois semaines.
Depuis 2012, 92% des diplômés de cette formation trouvent un emploi à durée indéterminée.
Le projet est soutenu par l’Épareca et la Métropole européenne de Lille.
Située dans le quartier de la briqueterie, l’école vise à revitaliser la communauté locale.

Faits vérifiés

Ce projet a été confirmé par plusieurs médias, dont BFM Grand Lille, qui souligne l’importance de cette initiative pour l’insertion professionnelle des personnes en difficulté. L’école Cuisine Mode d’Emploi(s) s’inscrit dans une démarche plus large de lutte contre le chômage et de promotion des métiers de bouche.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : 92% des participants à cette formation trouvent un emploi stable, un résultat qui témoigne de l’efficacité du programme et de l’engagement de Thierry Marx envers l’insertion professionnelle.

Réactions officielles et citations

« Ce projet est une véritable chance pour ceux qui en ont besoin. Nous croyons en la force de la formation pour changer des vies. » — Thierry Marx, Chef étoilé, 20 septembre 2018.

Analyse & Contexte

Cette initiative s’inscrit dans un contexte social où l’insertion professionnelle est cruciale. En offrant des formations gratuites, Thierry Marx et la ville de Marcq-en-Baroeul répondent à un besoin urgent de qualification dans un secteur en pleine expansion. Ce projet pourrait également inspirer d’autres villes à mettre en place des programmes similaires, renforçant ainsi l’idée que la gastronomie peut être un vecteur de réinsertion sociale.