07.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 6 Views 0 Comments

Théo Serfaty retrace Abraham Serfaty, le « Mandela marocain » libéré en 1991

Théo Serfaty évoque Abraham Serfaty, opposant marocain détenu dix-sept ans.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Théo Serfaty raconte son grand-père, surnommé le « Mandela marocain ». Abraham Serfaty, communiste juif marocain, a passé dix-sept ans en prison. Il est libéré en 1991, grâce à une mobilisation internationale. Ce récit éclaire une mémoire politique entre Maroc et France.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Théo Serfaty revient sur l’histoire d’Abraham Serfaty, dit le « Mandela marocain ».
Qui est concerné : Lectrices et lecteurs intéressés par l’histoire politique marocaine et l’exil en France.
Quand : Publication le 2025-12-01 16:42:00.
Où : Maroc et France.

Chiffres clés

17 ans — durée d’emprisonnement, avant la libération en 1991.
1991 — année de libération, après mobilisation internationale.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Rien d’obligatoire; repère historique et mémoriel utile.
Démarches utiles : Lire l’article complet pour les détails et témoignages.
Risques si vous n’agissez pas : Manquer des éléments de compréhension du parcours évoqué.
Exceptions : Non mentionnées.

Contexte

Abraham Serfaty est présenté comme communiste, juif marocain et antisioniste. Opposant résolu au roi Hassan II, il passe dix-sept ans en prison. Il est libéré en 1991, à la suite d’une mobilisation internationale. Théo Serfaty dit être né juste avant son expulsion en France. Enfant, il pensait que les conférences de son grand-père étaient un métier. Il constate aussi des nominations fréquentes comme citoyen d’honneur de villes communistes.

Ce qui reste à préciser

Les circonstances détaillées de la mobilisation internationale menant à la libération.
Le calendrier précis de la détention et de l’expulsion en France.

Citation

« À mes yeux, il était surtout quelqu’un de chaleureux qui me faisait sauter sur ses genoux. Je savais qu’il avait fait de la prison, mais je ne savais pas trop pourquoi » — Théo Serfaty.