Tanzanie : Exactions post-électorales, un drame révélé

Introduction : En novembre 2025, la Tanzanie est secouée par des allégations d’exactions post-électorales. Des vidéos partagées sur les réseaux sociaux montrent des violences inouïes, tandis que des proches des victimes témoignent de disparitions inquiétantes. La communauté internationale est en émoi face à cette situation alarmante.

Ce qu’il faut retenir

Des vidéos choquantes circulent, montrant des violences post-électorales en Tanzanie.
Des témoignages évoquent au moins 3 000 morts, avec des corps récupérés par la police.
Des proches affirment que des corps sont enterrés dans des fosses communes ou jetés à la mer.
Les autorités restent silencieuses, tandis que la présidente accuse des étrangers de fomenter des troubles.
La coupure d’Internet complique la vérification des faits et la diffusion des témoignages.

Faits vérifiés

Des médias fiables tels que l’AFP et France 24 rapportent des témoignages concordants sur la répression violente des manifestations en Tanzanie. Les autorités, sous pression, ont tenté de dissimuler l’ampleur des violences en récupérant les corps des victimes dans les hôpitaux et en les enterrant discrètement.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre choquant émerge : au moins 3 000 morts, un nombre qui pourrait grimper face à la répression en cours. Les images de corps récupérés par la police et de témoins effrayés frappent les consciences.

Réactions officielles et citations

« Les tueries sont des troubles fomentés par des étrangers. » — Présidente de la Tanzanie, novembre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière les tensions politiques en Tanzanie, où la répression des voix dissidentes soulève des questions sur les droits humains. Les vidéos et témoignages partagés sur les réseaux sociaux attirent l’attention du monde entier, révélant une crise humanitaire qui ne peut être ignorée.