Super Typhoon Uwan Devastates the Philippines: Live Updates

Introduction: Le 8 novembre 2025, les Philippines font face à une nouvelle catastrophe alors que le Super Typhoon Uwan, avec des vents atteignant 140 km/h, s’approche des côtes. À peine 48 heures après le passage dévastateur du Typhoon Tino, le pays se prépare à une tempête qui pourrait causer des destructions massives. Les évacuations sont en cours dans 54 provinces, alors que la menace de vagues de tempête et de pluies torrentielles pèse sur des millions de vies.

Ce qu’il faut retenir

Uwan est le 21ème cyclone tropical de l’année, avec des vents pouvant atteindre 185 km/h.
Plus de 10 000 familles ont déjà été évacuées, représentant plus de 50 000 personnes.
Des alertes de tempête de niveau 3 et 4 ont été émises dans plusieurs provinces, avec des prévisions de vagues de 3 à 5 mètres.

Faits vérifiés

Des médias fiables tels que l’AFP et Reuters rapportent que le Super Typhoon Uwan a été classé comme un typhon majeur, avec des impacts potentiels sur les régions de Catanduanes et d’Isabela. Les autorités de la PAGASA ont averti que les conditions météorologiques pourraient entraîner des inondations et des glissements de terrain dans les zones déjà touchées par le Typhoon Tino, qui a causé la mort de près de 200 personnes.

Le détail qui fait réagir

Le diamètre du typhon Uwan est si vaste qu’il rivalise avec la largeur du pays, garantissant que peu d’îles échapperont à sa fureur.

Réactions officielles et citations

« Nous avons appris de Tino. Évacuez maintenant, la vie passe avant les biens. » — Ferdinand Marcos Jr., Président des Philippines, 8 novembre 2025.

Analyse & Contexte

La situation actuelle souligne la vulnérabilité croissante des Philippines face aux catastrophes naturelles exacerbées par le changement climatique. Uwan, qui a intensifié sa force en raison des températures de la mer exceptionnellement élevées, met en lumière les défis politiques et environnementaux auxquels le pays est confronté. Cette tempête, qui survient si peu de temps après Tino, suscite des inquiétudes quant à la capacité des autorités à gérer les secours et la reconstruction.