Sophie Galabru : Le Temps comme Force de Maturation et d’Évolution
Mise à jour le 2025-12-09 10:51:00 : Sophie Galabru, dans son livre « Nos dernières fois », aborde la complexité du temps et de la vieillesse.
Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.
Dans son dernier ouvrage, « Nos dernières fois », la philosophe explore les moments de passage de nos vies et le rapport que l’on entretient au temps. Des enjeux qu’elle décortique plus particulièrement sous le prisme de la vieillesse dans cet entretien.
C’est en cherchant à lutter contre sa propre nostalgie du temps qui passe que Sophie Galabru s’est mise à écrire sur les dernières fois. L’agrégée et docteure en philosophie n’a pourtant que 35 ans, mais avait déjà cette appréhension de ce qui ne sera plus. Alors elle a entamé l’écriture de « Nos dernières fois » (éditions Allary). Pour tenter de contrer ce regard sur sa propre vie et arrêter d’être envahie par ce sentiment de ce qui demain ne sera déjà plus.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Sophie Galabru interroge notre rapport au temps et à la vieillesse.
- Qui est concerné : Les lecteurs intéressés par la philosophie et la psychologie du vieillissement.
- Quand : Publication récente de son ouvrage.
- Où : France.
Chiffres clés
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Concrètement, pour vous
- Ce qui change : Une nouvelle perspective sur le vieillissement et le temps.
- Démarches utiles : Lecture de l’ouvrage pour approfondir ces réflexions.
- Risques si vous n’agissez pas : Rester prisonnier d’une vision négative du temps.
- Exceptions : Aucun cas particulier mentionné.
Contexte
Galabru souligne que les dernières fois sont liées à l’irréversibilité du temps. Chaque instant est unique et ne peut être revécu. Elle évoque également la douleur des dernières fois, particulièrement ressentie par les enfants et les personnes âgées. Pour les femmes, le vieillissement est souvent plus difficile à accepter en raison des pressions sociétales et des transformations physiques.
Ce qui reste à préciser
- Les implications psychologiques de la nostalgie.
- Les différences de perception du temps entre les sexes.
Citation
« Être philosophe, n’est-ce pas apprendre à mourir ? » — Sophie Galabru, dans « Nos dernières fois ».
Sources
Source : J’ai piscine avec Simone
Source d’origine : Voir la publication initiale
Date : 2025-12-09 10:51:00 — Site : jaipiscineavecsimone.com
Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets
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Publié le : 2025-12-09 10:51:00 — Slug : sophie-galabru-ll-faut-dire-aux-femmes-que-le-temps-est-une-puissance-de-maturation-et-devolution-incroyable-jai-piscine-avec-simone
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