SCANDALE : Un candidat du RN se voit refuser un compte bancaire !

Introduction : Le 6 octobre 2025, à Pornic, un incident choquant a secoué le paysage politique français. Bastian Maldiney, jeune candidat du Rassemblement National, a révélé que la Société Générale a refusé d’ouvrir un compte pour sa campagne. Cette situation soulève des questions cruciales sur le pluralisme et la démocratie en France.

Ce qu’il faut retenir

La Société Générale a refusé d’ouvrir un compte à Bastian Maldiney, délégué adjoint du RN.
Ce refus a été interprété comme une atteinte au pluralisme politique.
Maldiney a dû se tourner vers la Banque de France pour obtenir un compte de campagne.
Il a reçu des excuses de la Société Générale, qualifiant l’incident de “malentendu”.
Le Crédit Mutuel a rapidement ouvert un compte pour lui, permettant ainsi le financement de sa campagne.

Faits vérifiés

Des médias comme Le Monde et AFP ont confirmé que Bastian Maldiney a rencontré des difficultés pour ouvrir un compte bancaire en raison de son affiliation politique. La situation a suscité des réactions dans le milieu politique, mettant en lumière des préoccupations sur l’accès aux services bancaires pour les candidats de certains partis.

Le détail qui fait réagir

Ce qui choque dans cette affaire, c’est que Maldiney a dû faire appel à la Banque de France pour obtenir un compte, une démarche qui souligne la complexité et les obstacles auxquels font face les candidats du RN dans le paysage politique actuel.

Réactions officielles et citations

« Ce refus soulève des questions sur l’égalité d’accès aux services bancaires pour tous les candidats. » — Bastian Maldiney, Candidat à la mairie de Pornic, 6 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontés les candidats du Rassemblement National, notamment en matière de financement de campagne. Le refus d’un compte bancaire peut avoir des conséquences significatives sur la capacité d’un candidat à mener sa campagne efficacement. Cela soulève également des questions sur la neutralité des institutions financières et leur rôle dans le soutien au pluralisme politique.