Roland Lescure s’attaque à LFI lors du budget 2026

Introduction : Le 24 octobre 2025, l’Assemblée nationale a vibré lors du premier jour de l’examen du budget 2026. Une confrontation explosive entre Roland Lescure, ministre de l’Économie, et Aurélien Le Coq, député LFI, a marqué le début des débats. Les enjeux financiers et sociaux sont au cœur de cette escarmouche politique.

Ce qu’il faut retenir

Roland Lescure a vivement réagi aux accusations de LFI concernant le budget 2026.
Aurélien Le Coq a dénoncé des “cadeaux” aux grandes entreprises, évoquant un déficit de 211 milliards d’euros.
Les débats ont attiré un nombre record de parlementaires dans l’hémicycle.
Lescure a appelé à un débat responsable, critiquant les attaques de Le Coq.
La tension entre le gouvernement et LFI s’intensifie alors que les discussions sur le budget se poursuivent.

Faits vérifiés

Lors de la séance, Aurélien Le Coq a accusé le gouvernement de creuser le déficit avec des exonérations fiscales massives, un point confirmé par plusieurs médias, dont Le Monde et France 24. En réponse, Roland Lescure a défendu le budget, insistant sur l’importance d’un débat constructif. Les tensions entre les deux camps reflètent des divergences profondes sur la gestion économique du pays.

Le détail qui fait réagir

Le chiffre de 211 milliards d’euros, évoqué par Le Coq, a particulièrement frappé les esprits, illustrant l’ampleur des exonérations fiscales critiquées par la gauche. Cette déclaration a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, amplifiant le débat public autour de la responsabilité budgétaire.

Réactions officielles et citations

« Vous devriez avoir honte » — Roland Lescure, Ministre de l’Économie, 24 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette confrontation met en lumière les tensions croissantes entre le gouvernement et la France Insoumise, alors que le pays se prépare à des choix budgétaires cruciaux. Les enjeux sociaux sont exacerbés par des critiques sur les inégalités croissantes, rendant le débat sur le budget 2026 particulièrement sensible. La virulence des échanges reflète une polarisation politique qui pourrait influencer l’opinion publique à l’approche des élections.