Restriction du cuivre : les viticulteurs bios du Beaujolais alertent sur leurs récoltes
L’ANSES a restreint l’usage du cuivre ; des vignerons bio craignent pour leurs récoltes.
Depuis juillet 2025, l’ANSES a décidé de restreindre l’utilisation du cuivre en agriculture.
Des viticulteurs bios du Beaujolais disent être inquiets pour leurs récoltes.
Ils dénoncent un risque pour la production et les revenus des exploitations.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : L’ANSES a restreint l’utilisation du cuivre en agriculture.
- Qui est concerné : Les viticulteurs bios, en particulier dans le Beaujolais.
- Quand : Décision prise en juillet 2025, article paru le 5 novembre 2025.
- Où : Beaujolais, département du Rhône, France.
Chiffres clés
- Usage déclaré : 4 kg de cuivre par an et par hectare (déclaration d’un viticulteur).
- Décision annoncée : juillet 2025 (restriction de l’utilisation du cuivre).
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : L’usage du cuivre sera restreint suite à la décision de l’ANSES.
- Démarches utiles : Suivre les communications officielles de l’ANSES et des autorités agricoles.
- Risques si vous n’agissez pas : Les viticulteurs craignent des pertes de rendement et un impact sur les revenus.
- Exceptions : Aucune exception précise n’est mentionnée dans l’article consulté.
Contexte
La bouillie bordelaise à base de cuivre est utilisée depuis longtemps contre le mildiou.
Un viticulteur interrogé affirme que la substance n’est pas cancérigène.
L’article note une incompréhension dans le monde du bio après la décision de l’ANSES.
Ce qui reste à préciser
- Les nouvelles limites exactes de cuivre autorisées après la restriction.
- Le calendrier précis d’application et les modalités de contrôle.
- Les mesures d’accompagnement ou de compensation pour les producteurs impactés.
Citation
« Au départ, j’ai cru à une grosse blague ! lance Sylvère Trichard, viticulteur bio et vins nature à Saint-Etienne-des-Oullières. La bouillie bordelaise est utilisée depuis des lustres dans nos vignes contre le mildiou, ce n’est pas cancérigène ! Aujourd’hui, on en utilise en moyenne 4 kg par an et par hectare, ce qui n’a rien à voir avec les doses que mettaient nos arrière-grands-parents ! » — Sylvère Trichard, viticulteur bio et vins nature.
Sources
Source d’origine : Voir la publication initiale
Date : 2025-11-05 15:43:00 — Site : www.leprogres.fr
Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets
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Publié le : 2025-11-05 15:43:00 — Slug : rhone-on-met-en-danger-nos-recoltes-face-a-la-restriction-dusage-du-cuivre-la-grogne-monte-chez-les-viticulteurs-bios
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