16.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 5 Views 0 Comments

Fermeture d’un hôpital en Somalie : un drame pour les femmes enceintes

Mise à jour le 2025-11-16 14:45:00 : La fermeture du centre maternel Suuqa Xoolaha en Somalie a des conséquences tragiques pour les futures mères.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

La fermeture du centre maternel et infantile Suuqa Xoolaha a plongé de nombreuses femmes dans l’angoisse. Ce drame souligne l’impact direct des coupes budgétaires sur la santé des femmes enceintes en Somalie, un pays déjà en crise. Les futures mères se retrouvent sans accès à des soins vitaux, ce qui pourrait aggraver le taux de mortalité maternelle, l’un des plus élevés au monde.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le centre Suuqa Xoolaha a fermé ses portes, laissant des femmes enceintes sans soins.
Qui est concerné : Les femmes enceintes et les familles dans le sud de la Somalie.
Quand : La fermeture a eu lieu la première semaine de juillet 2025.
Où : Sud de la Somalie.

Chiffres clés

Taux de mortalité maternelle en Somalie : l’un des plus élevés au monde.
Nombre de licenciements dans l’hôpital : médecins et sages-femmes.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Accès réduit aux soins pour les femmes enceintes.
Démarches utiles : Aucune procédure mentionnée.
Risques si vous n’agissez pas : Risque accru de complications lors des accouchements.

Contexte

La fermeture du centre Suuqa Xoolaha est due à des coupes budgétaires imposées par l’administration Trump, affectant les financements nécessaires au fonctionnement de l’hôpital. Les employés ont été licenciés, laissant les femmes enceintes sans assistance médicale. Khadija Ali, une jeune femme de 25 ans, a vécu ce drame en se rendant à l’hôpital alors qu’elle était sur le point d’accoucher.

Ce qui reste à préciser

Impact à long terme sur la santé des femmes en Somalie.
Réactions des organisations humanitaires face à cette crise.

Citation

« En pleurs, elle avait tambouriné sur la porte close, en criant sa peur de mourir faute de pouvoir donner naissance à son bébé dans les locaux. » — Habiba Ali, tante de Khadija, juillet 2025.