26.10.2025 Cédric Balcon-Hermand 15 Vues 0 commentaires

Réduire l’empreinte carbone de l’astronomie : un défi urgent

Mise à jour le 2025-10-26 11:00:00 : L’astronomie, bien que fascinante, est responsable d’importantes émissions de CO₂. Des chercheurs cherchent des solutions.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Face à l’impact environnemental de l’astronomie, des chercheurs, comme Héloïse Méheut, réorientent leurs travaux. Ils limitent l’usage des supercalculateurs, souvent gourmands en énergie. Ces machines sont essentielles pour simuler des phénomènes cosmiques. Méheut privilégie ceux des pays à faible empreinte carbone.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les astronomes émettent 39,7 teqCO₂ par an, principalement à cause des observatoires.
Qui est concerné : Les astronomes et les chercheurs en astrophysique.
Quand : Études récentes publiées en 2024.
Où : Principalement en Europe et aux États-Unis.

Chiffres clés

39,7 teqCO₂ par an et par astronome.
28.000 teqCO₂ d’empreinte carbone totale pour l’ESO en 2018.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les chercheurs doivent adopter des pratiques plus durables.
Démarches utiles : Utiliser des supercalculateurs à faible empreinte carbone.
Risques si vous n’agissez pas : Augmentation de l’empreinte carbone et perte de financement.

Contexte

Les observatoires, tels que l’Observatoire européen austral (ESO), ont commencé à décarboner leurs opérations. Des panneaux solaires ont été installés pour couvrir leurs besoins en électricité. En 2018, l’ESO a réduit de moitié ses émissions de CO₂ liées à l’énergie.