30.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

Phobie sociale : comment Antoine Pelissolo explique la sortie de l’enfer du regard des autres

L’anxiété sociale touche des millions de Français et peut être surmontée grâce à des thérapies ciblées, selon le psychiatre Antoine Pelissolo.

L’anxiété sociale, ou phobie sociale, peut empêcher de travailler, d’étudier ou de s’exprimer en public. Ce trouble, souvent confondu avec la timidité, a un impact direct sur la santé mentale et la vie professionnelle. Comprendre ses mécanismes et les solutions disponibles permet d’agir tôt et d’éviter l’isolement. Les thérapies comportementales offrent des pistes concrètes pour se libérer du poids du regard des autres.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : L’anxiété sociale est une maladie qui se soigne, notamment par les thérapies comportementales et cognitives.
Qui est concerné : Toute personne souffrant de peur du regard des autres, de trac, de timidité excessive ou de phobie sociale.
Quand : Information publiée le 30 décembre 2025.
Où : France (témoignages et expertise médicale française).

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Il est possible de sortir de l’anxiété sociale grâce à des exercices concrets et un accompagnement spécialisé.
Démarches utiles : Consulter un professionnel de santé mentale, demander une thérapie comportementale et cognitive (TCC).
Risques si vous n’agissez pas : Isolement, perte de confiance, difficultés scolaires ou professionnelles.
Exceptions : Aucune mentionnée.

Contexte

L’anxiété sociale recouvre un large spectre, de la simple timidité à la phobie sociale handicapante. Selon Antoine Pelissolo, la pathologie se définit par la perte de liberté d’action et une hyper-conscience de soi. Les origines sont liées à la peur du rejet et à la honte, émotion vécue comme une « mort sociale ». Les thérapies comportementales reposent sur l’exposition progressive à la peur et l’acceptation de l’incertitude. L’objectif : apprendre à agir même sans être prêt, et relativiser le jugement d’autrui.