Pénurie d’essence à Bamako : le Jnim en cause

Introduction : Depuis début septembre, le Mali fait face à une crise d’approvisionnement en carburant, qui s’intensifie à Bamako, la capitale. Le groupe jihadiste Jnim, affilié à al-Qaïda, bloque l’importation de carburant, plongeant le pays dans une pénurie alarmante. Les conséquences sur la vie quotidienne des Maliens sont de plus en plus préoccupantes.

Ce qu’il faut retenir

La pénurie d’essence s’étend à Bamako, touchant la capitale malienne.
Le groupe jihadiste Jnim empêche l’importation de carburant depuis plusieurs semaines.
Cette situation a des répercussions directes sur les transports et l’économie locale.
Les autorités peinent à trouver des solutions face à cette crise croissante.
La population exprime son mécontentement face à cette situation insupportable.

Faits vérifiés

Des médias fiables tels qu’AFP et France 24 confirment que la pénurie d’essence au Mali est directement liée aux actions du groupe jihadiste Jnim. Ce dernier a intensifié ses opérations pour bloquer les routes d’importation, exacerbant ainsi la crise énergétique dans le pays.

Le détail qui fait réagir

Plus de 70% des stations-service de Bamako sont désormais à sec, un chiffre qui illustre l’ampleur de la crise et suscite l’inquiétude parmi les habitants.

Réactions officielles et citations

« Nous faisons face à une situation sans précédent, et nous appelons à une mobilisation générale pour surmonter cette crise. » — Ministre de l’Énergie, 7 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette pénurie d’essence soulève des enjeux politiques et sociaux majeurs au Mali. Elle met en lumière la vulnérabilité du pays face aux groupes armés et à la sécurité énergétique. La crise pourrait également entraîner des tensions sociales, alors que les citoyens expriment leur frustration face à l’inefficacité des autorités à gérer la situation.