19.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

Patrick Sébastien : un porte-voix pour la présidentielle 2027

Mise à jour le 2025-11-18 11:43:00 : Patrick Sébastien, avec son mouvement « Ça suffit », appelle à un changement radical avant la présidentielle de 2027.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Patrick Sébastien souhaite « renverser la table » pour la présidentielle de 2027.
Qui est concerné : Les citoyens français, en particulier ceux se sentant ignorés par les élites.
Quand : À l’approche de la présidentielle de 2027.
Où : France.

« Renverser la table » : le mot d’ordre fort de Patrick Sébastien

Le 17 novembre 2025, sur les plateaux de BFMTV et RMC, Patrick Sébastien a adopté un ton résolument alarmiste. Interrogé par Apolline de Malherbe, il a déclaré que la présidentielle de 2027 ne doit pas être un simple « ajustement » du système politique. Pour lui, il est temps de « renverser la table ».

Cette expression, volontairement provocatrice, illustre sa conviction qu’un changement cosmétique ne suffira plus à répondre à la colère sociale. « Faut pas se contenter de changer la nappe », martèle-t-il, dénonçant des décennies de réformes superficielles. Patrick Sébastien estime qu’une partie de la population se sent abandonnée par les élites et épuisée par les difficultés économiques.

@w9lachaine

« 43% des Français apprécient Patrick Sébastien. » Selon un sondage IFOP, il pourrait bientôt apparaître dans les sondages d’intention de vote pour la présidentielle 2027.

Une candidature en 2027 ?

Face à la question d’une possible candidature, Patrick Sébastien est clair : « Je ne me présente à rien (…) Je ne veux pas être président de la République ». Il préfère être un porte-voix, représentant une « France qui en a marre », celle qui se sent ignorée.

Pour cela, il a mis en place un dispositif participatif : une adresse mail ouverte à tous, où chaque citoyen peut envoyer ses propositions. Patrick Sébastien souhaite capter « la vraie vie », celle des familles qui peinent à joindre les deux bouts.

Il prévoit de retenir une quarantaine de propositions clés pour en faire un outil de pression politique. Il parle de « chantage démocratique », confrontant les finalistes de la présidentielle à ce programme citoyen.