Nouveau femicidio à Mendoza : Sandra Sánchez, 57 ans, victime tragique

Introduction : Le 6 octobre 2025, Mendoza a été secouée par un nouveau femicidio, le huitième de l’année. Sandra Sánchez, une femme de 57 ans, a été poignardée par son ex-partenaire dans un acte de violence insupportable. Ce crime, survenu dans le quartier de Rópolo, soulève des questions cruciales sur la sécurité des femmes en Argentine.

Ce qu’il faut retenir

Huit femicidios enregistrés à Mendoza depuis le début de l’année.
Sandra Sánchez a été attaquée par son ex-compagnon, avec qui elle avait partagé sa vie pendant plus de 20 ans.
Le crime a eu lieu en pleine journée, entre 15h30 et 16h, suscitant l’effroi des voisins.
Malgré l’intervention rapide des témoins, l’ambulance est arrivée trop tard pour sauver la victime.
Le suspect, âgé de 57 ans, a été arrêté sur les lieux du crime.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables comme Los Andes Diario, Sandra Sánchez a été poignardée par son ex-partenaire alors qu’il venait récupérer ses affaires. Les témoins ont rapporté des moments de terreur avant que la victime ne parvienne à sortir de chez elle, où elle a finalement succombé à ses blessures. Ce tragique événement met en lumière la violence persistante contre les femmes en Argentine.

Le détail qui fait réagir

Le fait que ce femicidio soit survenu en pleine journée, dans un quartier résidentiel, choque et interpelle. Comment une telle violence peut-elle se produire sous les yeux de la communauté ?

Réactions officielles et citations

« Ce crime est un appel à l’action pour tous. Nous devons nous unir pour mettre fin à cette violence insupportable. » — María Fernández, Activiste pour les droits des femmes, 7 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Ce nouveau femicidio souligne une crise sociétale en Argentine, où la violence à l’égard des femmes reste un problème majeur. Les statistiques alarmantes et les récits tragiques comme celui de Sandra appellent à une mobilisation collective pour changer les mentalités et renforcer les protections légales. La récurrence de ces actes de violence crée un climat de peur et d’insécurité, particulièrement pour les femmes.