09.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 5 Views 0 Comments

Mobilisation des radiologues : l’imagerie médicale en péril ce lundi

Mise à jour le 2025-11-09 14:00:00 : La FNMR appelle à une grève nationale, menaçant l’accès aux examens d’imagerie médicale.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

La Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR) a confirmé une mobilisation nationale ce lundi 10 novembre 2025, dans un contexte qu’elle juge critique pour l’avenir de l’imagerie médicale. Une action qui devrait être fortement suivie dans le Rhône où 90 % des radiologues devraient suivre le mouvement.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les radiologues se mobilisent contre des baisses tarifaires menaçant l’accès aux soins.
Qui est concerné : Les radiologues et les patients nécessitant des examens d’imagerie.
Quand : Lundi 10 novembre 2025.
Où : France, en particulier dans le Rhône.

Chiffres clés

90 % des radiologues mobilisés dans le Rhône.
1,5 milliard d’euros de baisses tarifaires subies en dix ans.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Accès aux examens d’imagerie réduit, délais allongés.
Démarches utiles : Suivre les annonces de la FNMR pour des informations à jour.
Risques si vous n’agissez pas : Retards dans le diagnostic et traitement des maladies.

Contexte

La FNMR dénonce des baisses de tarifs d’imagerie imposées dans le cadre du PLFSS 2026, qui frappent un secteur déjà fragilisé. Ces mesures impactent directement les patients, entraînant des délais plus longs et un accès restreint aux soins. Jean-Philippe Masson, président de la FNMR, souligne que ces décisions sont économiquement absurdes et médicalement irresponsables.

Ce qui reste à préciser

Les modalités précises de la grève nationale.
Les conséquences à long terme sur l’innovation technologique en imagerie.

Citation

« Ces décisions du PLFSS 2026 et du protocole imagerie privent les radiologues des marges de manœuvre nécessaires pour continuer à assurer des soins de qualité aux patients. » — Jean-Philippe Masson, président de la FNMR.