16.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 4 Views 0 Comments

Le gang des Amazones : un film captivant sur des braqueuses des années 90

Mise à jour le 2025-11-16 13:00:00 : Le film “Le gang des Amazones” raconte l’histoire vraie de jeunes femmes braqueuses, mêlant adrénaline et émotions.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Entre adrénaline, rires et émotion, “Le gang des Amazones” plonge dans les années 90 pour raconter l’histoire vraie de jeunes femmes devenues braqueuses. Rencontre avec la réalisatrice Mélissa Drigeard, la comédienne Lyna Khoudri et le scénariste Vincent Juillet.

Inspiré d’un fait divers méconnu, le film “Le gang des Amazones” mêle réalisme et énergie féminine. Sur le tournage, Mélissa Drigeard et ses comédiennes ont recréé l’esprit d’une époque sans portable ni internet, avec audace et tendresse.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : “Le gang des Amazones” est basé sur une histoire vraie de braqueuses des années 90.
Qui est concerné : Le public intéressé par le cinéma et les histoires vraies.
Quand : Le film est actuellement à l’affiche.
Où : France.

Ce qui change

Ce qui change : La perception des femmes dans des rôles traditionnellement masculins.
Démarches utiles : Visionner le film pour comprendre son message.

Contexte

Mélissa Drigeard signe avec Le gang des Amazones son quatrième long métrage, et change de registre. Après les comédies Tout nous sourit ou Hawaï, elle s’empare d’un fait divers survenu dans le sud de la France dans les années 90 : une bande de copines qui braquent des banques. « Cette histoire m’a bouleversée, confie la réalisatrice. Elle avait déjà fait l’objet d’un podcast d’Affaires Sensibles, mais jamais d’un film. »

Lyna Khoudri, entre intensité et confiance

Lyna Khoudri incarne Katy, la meneuse du gang. L’actrice a rencontré l’Amazone sur le tournage : « Elle a été d’une grande générosité. On a beaucoup parlé de cette période. » Sur le tournage, l’actrice a dû apprendre à manier des armes et à simuler des braquages : « C’était grisant, plein d’adrénaline, mais il fallait rester juste. Il ne fallait pas forcément crier, juste imposer le respect. »

Retour dans les années 90

Recréer l’époque a demandé un vrai travail de précision. « Pas de portables, pas d’internet, une autre façon de parler », explique Mélissa Drigeard. “On vérifiait chaque mot : pas de “wesh” ni de “genre” ! » s’amuse Lyna Khoudri.

Des sensations fortes sur le tournage

Parmi les souvenirs marquants, Lyna Khoudri évoque « le bruit du moteur des vieilles voitures, qu’il fallait vraiment savoir démarrer ! ».
Pour Mélissa, c’est « l’odeur de la lavande », lors d’une séquence tournée dans un champ du sud. Quant à Vincent Juillet, il garde en mémoire « le tribunal de Carpentras, resté figé dans le temps ».