Mali : le JNIM s’empare des routes, Bamako en crise

Introduction : Le 20 octobre 2025, au Mali, la situation s’aggrave alors que les jihadistes du JNIM, affiliés à al-Qaïda, intensifient leur contrôle sur les routes stratégiques. Un récent assaut sur un convoi de camions-citernes en provenance de Côte d’Ivoire a provoqué la destruction d’environ cinquante véhicules, entraînant une pénurie de carburant à Bamako. Les voyageurs sont désormais contraints de se plier aux règles imposées par le groupe armé.

Ce qu’il faut retenir

Le JNIM a attaqué un convoi de camions-citernes, détruisant près de 50 véhicules.
La pénurie de carburant à Bamako affecte gravement la vie quotidienne des habitants.
Les jihadistes imposent leurs règles sur les routes maliennes, augmentant la tension.
Cette escalade de violence souligne l’instabilité persistante au Mali.
Serge Daniel, correspondant de France 24, apporte un éclairage sur cette crise.

Faits vérifiés

Des sources fiables, dont France 24 et l’AFP, confirment que le JNIM a élargi son emprise sur les routes maliennes. L’attaque sur le convoi de camions-citernes a été documentée, et les conséquences sur l’approvisionnement en carburant à Bamako sont alarmantes. Cette situation met en lumière la vulnérabilité croissante des infrastructures au Mali.

Le détail qui fait réagir

Près de 50 camions détruits en une seule attaque : un chiffre qui illustre l’ampleur de la menace jihadiste et l’urgence de la situation à Bamako.

Réactions officielles et citations

« La sécurité des routes est devenue une préoccupation majeure pour les citoyens maliens. » — Serge Daniel, Correspondant, 20 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette escalade de violence par le JNIM met en lumière les défis politiques et sociaux auxquels le Mali est confronté. La montée en puissance des groupes jihadistes menace non seulement la sécurité des routes, mais également la stabilité du pays dans son ensemble. La rareté du carburant à Bamako pourrait entraîner des répercussions économiques significatives, aggravant ainsi la crise humanitaire déjà présente.