Madagascar : Les militaires soutiennent les manifestants de la GenZ

Introduction : Le 11 octobre 2025, à Antananarivo, Madagascar, une scène inédite s’est déroulée lorsque des militaires ont rejoint les manifestants de la GenZ. Dans un contexte de tensions croissantes, le contingent militaire du Capsat a appelé ses soldats à ne pas tirer sur la foule. La situation demeure incertaine alors que le pays traverse une période de turbulences politiques.

Ce qu’il faut retenir

Des militaires du Capsat ont refusé d’ouvrir le feu sur les manifestants.
Les soldats ont escorté les manifestants vers la place symbolique du 13 mai.
La situation à Antananarivo est marquée par une confusion persistante.
Plus de 22 000 vues sur la vidéo de l’événement, témoignant d’un intérêt massif.
Les réactions internationales commencent à affluer sur cette mobilisation inédite.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables comme TV5MONDE Info, le contingent militaire a effectivement exhorté ses membres à « refuser les ordres de tirer » sur les manifestants. Cette déclaration a été confirmée par plusieurs médias, dont l’AFP et France 24, qui rapportent une atmosphère de tension et de solidarité inédite entre les forces armées et la population.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : plus de 22 000 vues sur la vidéo de l’événement, illustrant l’ampleur de l’intérêt suscité par cette mobilisation. Ce soutien inattendu des militaires pourrait changer la dynamique des manifestations à Madagascar.

Réactions officielles et citations

« Nous sommes ici pour protéger notre peuple, pas pour le réprimer. » — Colonel Rivo, Capsat, 11 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette mobilisation des militaires soulève des questions cruciales sur l’état de la démocratie à Madagascar. Alors que le pays fait face à des défis politiques majeurs, le soutien des forces armées aux manifestants pourrait signaler un changement de paradigme. Les jeunes de la GenZ, en quête de justice et de changement, trouvent un écho inattendu dans les rangs militaires, ce qui pourrait redéfinir les relations entre la population et l’armée.