26.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 3 Views 0 Comments

Limoges: ex-élève d’Ozanam poursuit l’État pour faute lourde, délais prescrits

Mise à jour le 2025-11-25 22:44:00 : un ex-élève d’Ozanam attaque l’État pour faute lourde devant le tribunal administratif de Limoges.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Un ancien élève d’Ozanam à Limoges a saisi la justice administrative. Il accuse l’État d’une faute lourde pour absence de contrôle. L’information a été confirmée mardi par le tribunal administratif. Le requérant dit vouloir une proposition de loi pour allonger les délais de prescription.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : un recours pour « faute lourde » a été déposé contre l’État.
Qui est concerné : un ancien élève d’Ozanam, l’État, deux établissements catholiques cités.
Quand : mardi 25 novembre 2025, selon le tribunal administratif.
Où : Limoges (Haute-Vienne) et Notre-Dame-de-Bétharram (Pyrénées-Atlantiques).

Chiffres clés

1967–1975 : années de scolarisation mentionnées par le requérant.
2 établissements : Ozanam et Notre-Dame-de-Bétharram cités pour l’époque des faits.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : rien immédiatement ; la demande vise la reconnaissance d’erreurs de l’État.
Démarches utiles : aucune procédure publique indiquée ; affaire devant le tribunal administratif.
Risques si vous n’agissez pas : non mentionné.
Exceptions : non mentionnées.

Contexte

Les faits dénoncés sont prescrits et un premier parcours pénal a échoué. Le requérant mise sur la justice administrative pour faire reconnaître des « erreurs » de l’État. Selon Le Populaire du Centre, il était scolarisé entre 1967 et 1975. Des membres d’une congrégation étaient alors mis en cause pour violences physiques et sexuelles, dénoncées à Notre-Dame-de-Bétharram.

Ce qui reste à préciser

Le calendrier de l’instruction et une éventuelle audience au fond.
La position officielle de l’État et des établissements concernés.

Citation

« Je n’ai demandé aucune indemnisation financière. Je veux juste qu’une proposition de loi soit faite pour étendre les délais de prescription », — au Populaire du Centre.