Libéria : La lutte contre le fléau du “kush”

Introduction : En 2025, le Libéria, pays meurtri par deux guerres civiles, fait face à une nouvelle crise : la dépendance au “kush”, une drogue dévastatrice. Un jeune Libérien sur quatre est touché par cette addiction qui ravage les vies. Dans les cimetières de Monrovia, les Zogos, ces âmes perdues, vivent parmi les morts, cherchant refuge dans une substance qui les détruit.

Ce qu’il faut retenir

Plus de 250 000 morts lors des guerres civiles, laissant des traumatismes profonds.
Un jeune sur quatre au Libéria est dépendant du “kush”, une drogue de synthèse accessible à quelques centimes.
Les Zogos, surnommés les “oubliés”, vivent dans les cimetières, accros à cette drogue mortelle.
Un homme, Michael Bowen, tente de sauver des âmes perdues, prêchant l’espoir et la rédemption.
Le Libéria se débat entre la mémoire de la guerre et la réalité d’une jeunesse sacrifiée.

Faits vérifiés

Des médias tels que France 24 et Le Monde rapportent que le Libéria, après avoir subi des conflits dévastateurs, est désormais confronté à une épidémie de toxicomanie. Le “kush”, un mélange de substances dangereuses, est devenu omniprésent, touchant particulièrement les jeunes et les plus vulnérables. Les Zogos, souvent issus de milieux défavorisés, sont laissés pour compte, vivant dans des conditions inhumaines.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre alarmant : un jeune Libérien sur quatre est désormais dépendant du “kush”. Ce constat tragique illustre l’ampleur de la crise et l’urgence d’une intervention.

Réactions officielles et citations

« Nous devons agir maintenant pour sauver cette génération. » — Michael Bowen, Activiste, 2025.

Analyse & Contexte

Cette situation met en lumière les enjeux sociaux et politiques du Libéria. La dépendance au “kush” est non seulement un problème de santé publique, mais aussi un reflet des échecs passés en matière de réhabilitation et de soutien aux jeunes. Le reportage d’ARTE révèle une réalité poignante, où l’espoir semble parfois perdu, mais où des voix s’élèvent pour prêcher la rédemption.