16.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 5 Views 0 Comments

Les journalistes face à l’horreur des images : un combat invisible

Mise à jour le 2025-11-13 : Les journalistes desk subissent des impacts psychologiques importants en raison de l’exposition répétée à des images violentes.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Les journalistes desk, en première ligne des événements tragiques, souffrent d’une exposition constante à des images violentes. Cela impacte leur santé mentale et leur bien-être. Les témoignages révèlent des effets dévastateurs sur leur quotidien, souvent marqué par des scènes de violence.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les journalistes sont exposés à des images traumatisantes, affectant leur santé mentale.
Qui est concerné : Les journalistes de desk et les monteurs vidéo.
Quand : Depuis plusieurs années, notamment après les attentats et conflits récents.
Où : Principalement en France, mais aussi à l’international.

Chiffres clés

Plus de 20 000 morts au Burkina Faso depuis 2015 en raison d’attaques djihadistes.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Une prise de conscience accrue des risques psychologiques liés à la profession.
Démarches utiles : Formation sur la gestion des images violentes dans certaines rédactions.
Risques si vous n’agissez pas : Épuisement professionnel et problèmes de santé mentale.

Contexte

Les journalistes de desk sont souvent confrontés à des images de violence en boucle, ce qui peut entraîner des troubles psychologiques. Des témoignages révèlent que cette exposition constante crée un profond malaise, des nausées, et un état de fatigue chronique. Les médecins et sociologues soulignent l’importance d’un accompagnement adapté pour ces professionnels souvent négligés.

Ce qui reste à préciser

Les dispositifs de soutien psychologique sont encore insuffisants dans de nombreuses rédactions.
Les pigistes sont souvent exclus des formations et accompagnements proposés.