02.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 9 Views 0 Comments

Les États-Unis et leur stratégie d’énergie dominante : un tournant géopolitique

Mise à jour le 2025-10-27 06:30:00 : L’administration Trump redessine la politique énergétique américaine, mettant l’accent sur les énergies fossiles.

Cette nouvelle orientation impacte directement l’économie, la sécurité énergétique et la transition vers des sources d’énergie renouvelables. Les enjeux sont cruciaux pour les citoyens américains et la communauté internationale. La prochaine étape pourrait être une intensification des débats sur la politique énergétique.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : L’administration Trump privilégie les énergies fossiles au détriment des renouvelables.
Qui est concerné : Les citoyens américains, les investisseurs et les acteurs du secteur énergétique.
Quand : Actuellement, avec des implications à long terme.
Où : États-Unis.

Chiffres clés

Suppression des crédits d’impôt pour les renouvelables et véhicules électriques.
Amputation des financements de la transition énergétique par la loi One Big Beautiful Bill Act.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Moins de soutien financier pour les énergies renouvelables.
Démarches utiles : Suivre les évolutions réglementaires et les opportunités d’investissement.
Risques si vous n’agissez pas : Perte d’opportunités d’investissement dans les énergies renouvelables.
Exceptions : Aucune mentionnée.

Contexte

La stratégie d’Energy Dominance vise à renforcer la position des États-Unis sur le marché mondial de l’énergie. La création du National Energy Dominance Council et la déconstruction de l’héritage Biden sont des éléments clés de cette politique. Le retrait de l’Accord de Paris souligne également les tensions géopolitiques actuelles.

Ce qui reste à préciser

Impact à long terme sur la transition énergétique mondiale.
Réactions des autres pays face à cette politique.

Citation

« La nouvelle politique énergétique des États-Unis pourrait redéfinir les relations internationales en matière d’énergie. » — Thibault Michel, chercheur à l’Ifri, 2025.