Le procès de Nuremberg, 80 ans après : comment il a mis fin à l’impunité des dirigeants
Mise à jour le 2025-11-20 06:00:00 : Le procès de Nuremberg a établi des chefs d’inculpation et brisé l’impunité des dirigeants.
Alerte : Une seule source fiable a été fournie dans les documents remis. Cette fiche repose principalement sur l’article de Le Monde cité en sources. D’autres confirmations indépendantes sont recommandées.
Le procès de Nuremberg a commencé le 20 novembre 1945. Vingt et un responsables nazis ont été jugés. Le procès a défini des crimes nouveaux. Il a posé les bases de la justice internationale.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : Le procès de Nuremberg (début 20/11/1945) a institué le « crime contre l’humanité ».
- Qui est concerné : Les historiens, la justice internationale et le grand public soucieux de l’état de droit.
- Quand : Procès ouvert le 20 novembre 1945 ; verdicts et peines rendus en octobre 1946.
- Où : Nuremberg, Allemagne (ville-symbole du nazisme, alors sous contrôle américain).
Chiffres clés
- 21 — nombre de personnes assises sur le banc des accusés lors de l’ouverture.
- 20 novembre 1945 — date d’ouverture du procès à Nuremberg.
- Octobre 1946 — moment où 12 des accusés ont été condamnés à mort.
- 2021 — parution de Nuremberg, la bataille des images (Sylvie Lindeperg, Payot).
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : C’est un précédent historique. Il montre que des chefs d’État peuvent être tenus responsables.
- Démarches utiles : Aucun acte administratif n’est requis. Lire les sources historiques pour mieux comprendre.
- Risques si vous n’agissez pas : Aucune conséquence personnelle immédiate. Le risque est collectif : oublier ce précédent affaiblit la mémoire juridique.
- Exceptions : Le procès concernait des dirigeants d’un État vaincu et des circonstances d’après-guerre spécifiques.
Contexte
Nuremberg a introduit des chefs d’inculpation nouveaux. Parmi eux figure le « crime contre l’humanité ». Ce chef vise « l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation » de populations civiles. C’est la première fois que des dirigeants d’un État vaincu sont traduits devant une cour internationale. Quatre-vingts ans plus tard, l’historienne Sylvie Lindeperg analyse la genèse, le déroulement et le legs de ce procès. Elle note aussi que « le mot “génocide” n’est pratiquement jamais prononcé dans la salle d’audience ».
Ce qui reste à préciser
- Des sources additionnelles pour confronter les interprétations historiques et juridiques.
- Le détail des débats sur l’usage du terme « génocide » pendant l’audience.
Citation
« le mot “génocide” n’est pratiquement jamais prononcé dans la salle d’audience » — Sylvie Lindeperg, Nuremberg, la bataille des images (Payot, 2021).
Sources

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Date : 2025-11-20 06:00:00 — Site : www.lemonde.fr
Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets
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Publié le : 2025-11-20 06:00:00 — Slug : le-proces-de-nuremberg-est-un-moment-fondateur-qui-met-fin-a-limpunite-des-chefs-detat
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