Le Mali choisit Emptech pour ses passeports biométriques

Introduction : Le 22 octobre 2025, le Mali a annoncé un changement majeur dans la production de ses passeports biométriques. Le pays met fin à son partenariat avec Idemia, un fournisseur français, pour se tourner vers l’entreprise chinoise Emptech. Cette décision vise à renforcer la souveraineté numérique du Mali tout en répondant à des problèmes techniques persistants.

Ce qu’il faut retenir

Le Mali rompt son contrat avec Idemia en raison de problèmes techniques et logistiques.
Emptech, une entreprise chinoise, prendra en charge la production des nouveaux passeports AES.
Cette décision s’inscrit dans une volonté de renforcer la souveraineté numérique du pays.
Le changement a suscité plus de 14 000 vues sur les réseaux sociaux en moins de 24 heures.
Les autorités maliennes espèrent une amélioration significative des services liés aux passeports.

Faits vérifiés

Des médias tels qu’AFP et France 24 ont confirmé que le Mali a effectivement mis fin à son partenariat avec Idemia. Les autorités maliennes ont évoqué des problèmes techniques qui ont entravé la production des passeports, ainsi qu’une volonté de renforcer l’autonomie numérique du pays. Cette transition vers Emptech a été largement relayée dans les médias internationaux.

Le détail qui fait réagir

En seulement 19 secondes, la vidéo annonçant ce changement a atteint plus de 14 000 vues, illustrant l’intérêt croissant pour les questions de souveraineté numérique en Afrique.

Réactions officielles et citations

« Ce changement est essentiel pour garantir la sécurité et l’efficacité de nos services publics. » — Ministre de la Communication, 22 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette décision du Mali s’inscrit dans un contexte plus large de recherche d’autonomie numérique en Afrique. En choisissant un fournisseur chinois, le pays espère non seulement résoudre des problèmes techniques, mais aussi s’affranchir des dépendances vis-à-vis des entreprises occidentales. Ce choix pourrait également influencer d’autres nations africaines à reconsidérer leurs partenariats technologiques.