Le féminisme sous le regard de l’Assemblée nationale : un débat houleux
Introduction : Le 6 octobre 2025, l’Assemblée nationale française a suscité une vive controverse en adoptant une proposition de résolution sur le féminisme. Ce texte, qui vise à définir le “bon” et le “mauvais” féminisme, soulève des questions essentielles sur l’identité et l’universalité de ce mouvement. Dans un contexte où les luttes féministes se diversifient, cette initiative pourrait bien redéfinir les contours de la cause.
Ce qu’il faut retenir
- Une résolution adoptée par l’Assemblée nationale cherche à établir un féminisme “universel”, excluant les dérives identitaires.
- Alice Cordier, directrice du Collectif Némésis, critique cette initiative, la qualifiant de réaction à l’émergence de nouveaux mouvements féministes.
- Le texte appelle à conditionner les subventions européennes aux associations qui défendent l’égalité plutôt que l’identité.
- Les débats révèlent une fracture au sein du féminisme, entre différentes visions et approches de la lutte pour les droits des femmes.
- La résolution pourrait avoir des conséquences sur le financement des associations féministes, en favorisant certaines au détriment d’autres.
Faits vérifiés
Des médias tels que Le Monde et France 24 rapportent que l’Assemblée nationale a voté une proposition de résolution visant à définir un féminisme universel, tout en mettant en garde contre les dérives identitaires. Cette initiative a été perçue comme une tentative de contrôler le discours féministe, en excluant certaines voix qui ne correspondent pas à cette vision. Alice Cordier, présente lors des débats, a exprimé des réserves sur cette définition, soulignant les tensions existantes au sein du mouvement.
Le détail qui fait réagir
Un chiffre marquant : 80 % des violences faites aux femmes proviennent du cercle privé, mais les débats actuels semblent ignorer les spécificités culturelles qui influencent ces violences. La question se pose : qui est réellement représenté dans ce féminisme “universel” ?
Réactions officielles et citations
« Il n’y a pas de féminisme de droite ou de gauche, il n’y a qu’un féminisme qui protège toutes les femmes. » — Alice Cordier, Directrice du Collectif Némésis, 6 octobre 2025.
Analyse & Contexte
Cette proposition de résolution met en lumière les tensions croissantes au sein du féminisme, entre un féminisme traditionnel et des mouvements plus récents qui revendiquent des luttes spécifiques. En tentant de définir ce qui constitue un “bon” féminisme, l’Assemblée nationale pourrait bien créer des divisions supplémentaires, nuisant à l’unité nécessaire pour faire avancer les droits des femmes. Ce débat soulève également des questions sur le financement des associations, qui pourraient se retrouver à la merci de critères politiques.
Désinformation et rumeurs
- Affirmation selon laquelle le féminisme universel exclut les voix des féministes de droite : non prouvée (Le Monde, France 24).
Sources
Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.
Chaîne : BERCOFF sur le vif ! — Pays : France — Date : 2025-10-09 17:00:01
Durée : 00:14:42 — Vues : 1002 — J’aime : 147
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Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Biographie & projets
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