12.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 8 Views 0 Comments

Le deuil : un tabou persistant malgré la reconnaissance de la maladie

Mise à jour le 2025-11-06 17:00:00 : Le deuil prolongé est reconnu par l’OMS, mais le tabou autour du deuil demeure dans notre société.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le deuil est souvent perçu comme un sujet délicat. Malgré des avancées, il reste un tabou dans notre culture. La reconnaissance par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2018 d’une maladie du deuil, le « deuil prolongé », n’a pas suffi à briser ce silence. Les mots pour désigner ceux qui ont perdu un proche restent absents de notre langue.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le deuil prolongé est reconnu comme une maladie par l’OMS.
Qui est concerné : Toute personne ayant subi une perte significative.
Quand : Reconnaissance en 2018.
Où : International, avec un impact culturel varié.

Chiffres clés

2018 : Reconnaissance du deuil prolongé par l’OMS.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Une meilleure compréhension du deuil comme processus.
Démarches utiles : Consulter un professionnel de la santé mentale si nécessaire.
Risques si vous n’agissez pas : Risque de souffrance prolongée sans soutien.

Contexte

Historiquement, la religion et la croyance en un au-delà ont apaisé la douleur de la perte. Les guerres mondiales ont également façonné notre manière de gérer le deuil, en cherchant à préserver l’image héroïque des soldats. Aujourd’hui, l’hypermatérialisme de notre société valorise la performance, rendant difficile l’expression des émotions liées au deuil.

Ce qui reste à préciser

Les stigmates culturels autour du deuil.
Les différences dans la perception du deuil selon les cultures.

Citation

« Le deuil est un processus d’assimilation et d’accommodation à la mort d’un être auquel on est fondamentalement attaché. » — Alain Sauteraud, psychiatre.