Le Congo en tête de la transition énergétique en Afrique Centrale

Introduction : Le 3 novembre 2025, à Brazzaville, le Congo a lancé une initiative majeure pour la transition énergétique en Afrique Centrale. Sous l’égide du Premier ministre, cette première réunion du comité de pilotage du réseau Retéac marque un tournant décisif pour la coopération scientifique régionale. L’objectif : promouvoir une transition énergétique juste et durable, ancrée dans l’innovation et le partage des connaissances.

Ce qu’il faut retenir

Le réseau Retéac vise à structurer la coopération scientifique pour la transition énergétique en Afrique Centrale.
Le centre d’excellence d’Oyo, inauguré en avril 2023, sera le pilier de cette initiative.
Ce projet est soutenu par l’Union européenne, visant à renforcer les capacités de recherche et d’innovation en Afrique.
Des engagements ont été pris pour favoriser l’échange de connaissances et l’innovation locale.
Les sessions techniques se poursuivent jusqu’au 7 novembre, renforçant la dynamique collaborative.

Faits vérifiés

Des médias tels que l’AFP et France 24 ont confirmé que le Congo s’affirme comme un leader dans la transition énergétique en Afrique Centrale. Le projet Retéac est soutenu par l’Union européenne, qui souhaite renforcer les institutions africaines de recherche et promouvoir l’industrialisation durable.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : le centre d’excellence d’Oyo a pour mission de combler le déficit en capital humain dans les domaines stratégiques de la transition énergétique, un enjeu crucial pour l’avenir énergétique de la région.

Réactions officielles et citations

« Nous devons garantir que les bénéfices de la transition énergétique profitent à toutes les communautés de la région. » — Premier ministre, 3 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Cette initiative du Congo s’inscrit dans un contexte politique et environnemental où la transition énergétique est devenue une priorité mondiale. En renforçant la coopération entre chercheurs et décideurs, le pays espère non seulement stimuler l’innovation locale, mais aussi attirer des investissements vers des solutions énergétiques durables. Ce projet pourrait transformer le paysage énergétique de l’Afrique Centrale, tout en répondant aux défis climatiques actuels.