02.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 View 0 Comments

Le Cnes reconnu coupable de destruction d’espèces protégées en Guyane

Mise à jour le 2025-12-01 20:09:00 : Le Centre national d’études spatiales a été condamné pour avoir détruit des habitats d’espèces protégées.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le Centre national d’études spatiales (Cnes) a été reconnu coupable de destruction d’espèces protégées lors de travaux non autorisés en Guyane. Cette décision a été rendue par le tribunal judiciaire de Cayenne le 1er décembre 2025. Le Cnes devra réparer le préjudice écologique et mettre en place des mesures compensatoires dans un délai de trois ans.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le Cnes a été condamné pour avoir détruit des habitats d’espèces protégées.
Qui est concerné : Le public et les organismes de protection de l’environnement.
Quand : La décision a été rendue le 1er décembre 2025.
Où : À Kourou, en Guyane.

Chiffres clés

9,7 millions d’euros : préjudice écologique estimé.
3 ans : délai pour mettre en œuvre les mesures compensatoires.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Le Cnes doit restaurer les habitats détruits.
Démarches utiles : Suivi des mesures compensatoires mises en place.
Risques si vous n’agissez pas : Détérioration continue de l’environnement local.

Contexte

Le Cnes a été condamné dans le cadre d’une procédure de reconnaissance préalable de culpabilité. Il lui était reproché des atteintes à la conservation d’un habitat naturel et d’espèces protégées, dont le leptodactyle ocellé, une grenouille rare protégée depuis 2020. Une expertise judiciaire a estimé que la restauration des milieux impactés pourrait prendre plusieurs décennies.

Ce qui reste à préciser

Les détails sur les mesures compensatoires spécifiques à mettre en œuvre.
Les conséquences à long terme pour la biodiversité en Guyane.

Citation

« On se retrouve avec une absence d’amende pour des infractions intentionnelles aux dommages gravissimes sur des espèces menacées » — Nolwenn Rocca, coordinateur de Guyane Nature Environnement, 2025.