L’Allemagne dit non à l’interdiction des voitures thermiques en 2035 !

Introduction : Le 6 octobre 2025, lors d’une interview sur NTV, le chancelier allemand Friedrich Merz a annoncé son opposition à l’interdiction des voitures thermiques d’ici 2035. Cette déclaration marque un tournant majeur dans le débat sur la transition énergétique en Europe. Alors que l’Union européenne impose des restrictions, l’Allemagne, première économie du continent, prend position.

Ce qu’il faut retenir

Friedrich Merz, chancelier allemand, s’oppose fermement à l’interdiction des voitures thermiques en 2035.
Quatre pays de l’UE, dont l’Allemagne et la Pologne, contestent cette mesure.
Le secteur automobile représente 23,8 % des exportations allemandes, avec plus de 4 millions de véhicules produits chaque année.
En 2025, seulement 8 294 voitures électriques ont été réellement vendues en Allemagne, révélant une demande faible.
La transition vers l’électrique nécessite des investissements colossaux, rendant l’échéance de 2035 difficile à respecter.

Faits vérifiés

Des médias tels que l’AFP et Le Monde confirment que l’Allemagne, avec d’autres pays comme la Pologne et l’Italie, s’oppose à l’interdiction des moteurs thermiques. Ces pays soulignent les enjeux économiques et sociaux liés à cette décision.

Le détail qui fait réagir

En 2024, les véhicules légers ont constitué 23,8 % de la valeur totale des exportations allemandes, soulignant l’importance cruciale de l’industrie automobile pour l’économie du pays.

Réactions officielles et citations

« Je ne souhaite pas que l’Allemagne soit l’un des pays soutenant cette mauvaise interdiction. » — Friedrich Merz, Chancelier allemand, 6 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette déclaration de Merz met en lumière les tensions croissantes au sein de l’UE concernant la transition énergétique. Alors que certains pays avancent vers l’électrique, d’autres, comme l’Allemagne, craignent pour leur économie et leur industrie. Ce débat soulève des questions fondamentales sur la viabilité des politiques environnementales face aux réalités économiques.