L’administration Trump cherche à réconcilier Alger et Rabat

Introduction : Le 27 octobre 2025, une déclaration inattendue de l’envoyé spécial de Donald Trump pour le Moyen-Orient a secoué le Maghreb. Steve Witkov a annoncé qu’un accord de paix entre l’Algérie et le Maroc pourrait être conclu dans les 60 jours. Ce développement intervient alors que le Conseil de sécurité de l’ONU se prépare à statuer sur le Sahara occidental.

Ce qu’il faut retenir

Donald Trump veut imposer un accord de paix entre l’Algérie et le Maroc.
Steve Witkov prévoit un accord dans les 60 jours, ce qui surprend de nombreux observateurs.
Le Conseil de sécurité de l’ONU doit décider du futur de la mission MINURSO le 30 octobre.
Les États-Unis ont reconnu l’option marocaine pour le Sahara occidental, ce qui complique la situation.
Les réactions des deux pays sont mitigées, avec des doutes en Algérie et des espoirs au Maroc.

Faits vérifiés

Les déclarations de Steve Witkov ont été rapportées par plusieurs médias, dont TV5MONDE et France 24. Le contexte de cette annonce est crucial, car il coïncide avec la discussion imminente au Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara occidental. Les États-Unis, ayant reconnu la souveraineté marocaine sur cette région, cherchent à éviter une escalade des tensions.

Le détail qui fait réagir

La promesse d’un accord de paix dans un délai de 60 jours est un chiffre qui a suscité de vives réactions, tant en Algérie qu’au Maroc, mettant en lumière l’urgence de la situation diplomatique dans la région.

Réactions officielles et citations

« Cette déclaration est totalement extravagante. L’Algérie ne se laissera jamais dicter sa diplomatie par les Américains. » — Journal en ligne proche de cercles militaires, 27 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette initiative américaine intervient dans un contexte de tensions persistantes entre l’Algérie et le Maroc, exacerbées par la question du Sahara occidental. La volonté des États-Unis de jouer les médiateurs soulève des interrogations sur leur influence dans la région et sur la légitimité de leur position. Ce développement pourrait redéfinir les relations diplomatiques en Afrique du Nord, attirant l’attention des observateurs internationaux.