10.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 4 Views 0 Comments

Les défis de la décarbonation au Québec : un avenir incertain

Mise à jour le 2025-10-29 06:00:00 : La concentration de CO₂ continue d’augmenter, tandis que le Québec fait des efforts notables pour réduire ses émissions.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le bulletin annuel sur les gaz à effet de serre (GES) de l’Organisation météorologique mondiale a révélé que la concentration de CO₂ dans l’atmosphère a crû de 3,5 parties par million en 2023-2024. En comparaison, la moyenne était de 2,4 dans la décennie précédente. Les Québécois, cependant, ont réduit leurs émissions de GES de 7,8 % depuis 1990, malgré une croissance économique de 88 %.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : La concentration de CO₂ augmente, mais le Québec réduit ses GES.
Qui est concerné : Les Québécois et les décideurs politiques.
Quand : Données de 2023-2024.
Où : Québec, Canada.

Chiffres clés

Concentration de CO₂ : 3,5 ppm en 2023-2024.
Diminution des GES : 7,8 % depuis 1990.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les efforts de décarbonation influencent la politique énergétique.
Démarches utiles : Suivre les initiatives gouvernementales sur la décarbonation.
Risques si vous n’agissez pas : Impact environnemental accru et potentielle hausse des coûts énergétiques.

Contexte

Le gouvernement Legault évoque une diminution de 19 % des GES, mais cela inclut des crédits carbone échangés avec la Californie. Benoit Charette, ancien ministre de l’Environnement, a souligné l’efficacité de la bourse du carbone pour atteindre les objectifs de réduction.

Ce qui reste à préciser

Impact des crédits carbone sur la perception des efforts de décarbonation.
Comparaison avec d’autres provinces canadiennes et leurs politiques environnementales.