28.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 24 Views 0 Comments

La « transfarmation » : une alternative à l’élevage en pleine expansion

Mise à jour le 2025-12-19 15:51:00 : De plus en plus d’agriculteurs abandonnent l’élevage pour des modèles durables, mais des défis subsistent.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

La « transfarmation » désigne la transition des agriculteurs vers des fermes post-élevage. Ce mouvement, motivé par la compassion animale et des raisons économiques, prend de l’ampleur.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Les agriculteurs se reconvertissent vers des modèles de fermes durables.
Qui est concerné : Agriculteurs, animaux d’élevage, et consommateurs.
Quand : Actuellement, avec des exemples notables en 2025.
Où : Principalement en France.

Chiffres clés

Environ 20 sanctuaires pour animaux d’élevage recensés en France en 2025.
Coût d’entretien d’un cochon de ferme : 300 à 400€ par mois.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Les agriculteurs peuvent choisir des modèles de fermes plus éthiques.
Démarches utiles : Se renseigner sur les associations d’aide à la reconversion.
Risques si vous n’agissez pas : Risque de perte de biodiversité et de bien-être animal.
Exceptions : Certaines fermes peuvent ne pas être éligibles au soutien.

Contexte

La « transfarmation » est un phénomène en croissance, où des agriculteurs abandonnent l’élevage pour des modèles comme les sanctuaires pour animaux ou les fermes maraîchères. Ces changements sont souvent motivés par des préoccupations éthiques et économiques.

Ce qui reste à préciser

Le soutien financier des États pour ces transitions reste insuffisant.
Les défis liés à la durabilité économique des nouvelles fermes.

Citation

« Sans se présenter comme une solution généralisable pour sortir de l’élevage, les « transfarmations » ont le mérite de proposer une alternative. » — Pauline Bureau, Vice-présidente de LFE, 2025