Haut-Karabakh : la CIJ exige le retour des Arméniens, deux ans après, rien n’a changé
Le 17 novembre 2023, la CIJ a ordonné à l’Azerbaïdjan d’assurer le retour sûr et digne des déplacés. Au 15 novembre 2025, Le Monde constate l’absence de mise en œuvre.
Une tribune publiée le 15 novembre 2025 rappelle l’ordonnance de la Cour internationale de justice. Elle souligne l’absence d’actions concrètes pour le retour, la protection des biens et du patrimoine. L’enjeu est direct : droits fondamentaux, sécurité des personnes et préservation des mémoires. Prochaine étape : obtenir des garanties effectives et vérifiables d’application.
Ce qu’il faut savoir
- Le fait : la CIJ ordonne le retour sans entrave des Arméniens du Haut-Karabakh; selon Le Monde, la décision reste inappliquée.
- Qui est concerné : déplacés arméniens du Haut-Karabakh, Azerbaïdjan, instances internationales et États.
- Quand : ordonnance le 17 novembre 2023; offensive le 19 septembre 2023; situation constatée au 15 novembre 2025.
- Où : Haut-Karabakh et Azerbaïdjan.
Chiffres clés
- 120 000 personnes déplacées en quelques jours, après le 19 septembre 2023.
- 9 mois de blocus total avant l’offensive du 19 septembre 2023.
Concrètement, pour vous
- Ce qui change : rappel d’un droit individuel au retour garanti par l’article 12 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
- Démarches utiles : se référer au texte du Pacte international et suivre les informations officielles.
- Risques si vous n’agissez pas : non précisé dans la source.
- Exceptions : non indiquées.
Contexte
Après neuf mois de blocus, l’Azerbaïdjan lance une offensive décisive le 19 septembre 2023. En quelques jours, les derniers 120 000 Arméniens fuient le territoire. Le 17 novembre 2023, la CIJ ordonne le retour sûr, la protection des biens et la préservation du patrimoine. Le texte souligne que cette décision prime sur toute considération politique, traité ou accord bilatéral.
La tribune fait état d’aucune action engagée pour permettre le retour, protéger les droits ou documenter l’état des villes et villages. Elle évoque la destruction, la dénaturation ou la réattribution de biens et de patrimoines culturels. Elle rappelle que le droit au retour dépasse les enjeux géopolitiques et demeure une responsabilité collective reconnue par les conventions internationales.
Le droit international cité se fonde sur l’article 12 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Ce droit appartient aux individus, indépendamment d’une nationalité formelle, dès lors qu’existe un lien profond et durable avec une terre, une culture et une mémoire.
Ce qui reste à préciser
- Calendrier et mécanismes concrets pour un retour sûr, digne et sans entrave.
- Dispositifs de protection des biens et du patrimoine culturel sur place.
Citation
« Pourtant, deux ans plus tard, elle demeure lettre morte. »
Sources

Source d’origine : Voir la publication initiale
Date : 2025-11-15 08:30:00 — Site : www.lemonde.fr
Auteur : Cédric Balcon-Hermand — Biographie & projets
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Publié le : 2025-11-15 08:30:00 — Slug : la-question-des-armeniens-du-haut-karabakh-nest-pas-une-affaire-de-frontieres-ou-dethnie-mais-duniversalite-des-droits-humains-considerent-23
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