La Belgique refuse un prêt de 140 milliards d’euros pour l’Ukraine

Introduction : Lors du sommet de l’UE du 24 octobre 2025, la Belgique a exprimé son opposition à un prêt de 140 milliards d’euros destiné à l’Ukraine. Le Premier ministre belge, Bart De Wever, a souligné l’absence de réponses satisfaisantes à ses préoccupations concernant l’utilisation des actifs russes gelés. Ce débat crucial soulève des questions sur l’avenir du soutien européen à l’Ukraine.

Ce qu’il faut retenir

La Belgique s’oppose fermement à un prêt de 140 milliards d’euros pour l’Ukraine.
Le Premier ministre Bart De Wever a exprimé des préoccupations non résolues lors du sommet.
La décision sur l’utilisation des actifs russes gelés sera discutée lors du prochain sommet en décembre.
La Commission européenne doit répondre aux objections belges avant toute avancée.
Ce prêt pourrait impliquer la participation d’autres pays comme le Royaume-Uni ou le Canada.

Faits vérifiés

Les médias tels que l’AFP et France 24 rapportent que la Belgique a clairement indiqué son opposition à la proposition de prêt. Bart De Wever a demandé des clarifications sur l’utilisation des fonds, en insistant sur la nécessité d’une discussion approfondie. Les dirigeants européens ont convenu de reporter la décision finale à décembre, laissant la Commission européenne gérer les préoccupations belges.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : 140 milliards d’euros, une somme colossale qui pourrait transformer la situation en Ukraine, mais qui reste suspendue à l’accord des États membres de l’UE.

Réactions officielles et citations

« Nous avons besoin de réponses claires avant de prendre une décision aussi cruciale. » — Bart De Wever, Premier ministre belge, 24 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Ce refus belge met en lumière les tensions au sein de l’UE concernant le soutien à l’Ukraine. Alors que certains pays plaident pour une aide rapide, d’autres, comme la Belgique, exigent des garanties sur l’utilisation des fonds. Ce débat est crucial non seulement pour l’Ukraine, mais aussi pour l’unité de l’UE face à la Russie.