Juan Branco dévoile le procès explosif de Brigitte Macron

Introduction : Le 14 octobre 2025, Juan Branco a tenu une conférence de presse marquante sur le procès en cyberharcèlement impliquant Brigitte Macron. Ce procès soulève des questions cruciales sur la liberté d’expression et l’instrumentalisation de la justice. Les enjeux sont plus que jamais d’actualité.

Ce qu’il faut retenir

Brigitte Macron a engagé des poursuites contre 11 citoyens français pour des commentaires sur son identité et sa rencontre avec Emmanuel Macron.
Les arrestations ont été ordonnées par l’Élysée, remettant en question l’indépendance de la justice en France.
Le procès, prévu les 27 et 28 octobre, pourrait exposer des vérités dérangeantes sur la vie privée du couple présidentiel.
Branco dénonce une dérive autoritaire et une instrumentalisation des lois sur le cyberharcèlement.
Le débat public autour de ce procès pourrait avoir des répercussions sur la perception de la liberté d’expression en France.

Faits vérifiés

Des médias tels que Le Monde et AFP rapportent que Brigitte Macron a déposé plainte contre des citoyens pour avoir critiqué sa vie personnelle. Les poursuites sont soutenues par des mesures de contrainte, ce qui soulève des inquiétudes quant à l’usage des lois sur le cyberharcèlement. Les accusations incluent des interrogations sur l’âge de sa rencontre avec Emmanuel Macron, un sujet sensible qui pourrait avoir des implications légales.

Le détail qui fait réagir

Un fait marquant : 10 des 11 citoyens poursuivis ont été arrêtés à l’aube, illustrant la gravité de la situation et le climat de peur qui entoure cette affaire.

Réactions officielles et citations

« Ce procès est une atteinte à la liberté d’expression et un symbole de l’autoritarisme croissant » — Juan Branco, Avocat, 14 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Ce procès soulève des questions fondamentales sur la liberté d’expression en France. La manière dont l’Élysée a géré cette affaire pourrait influencer la perception publique de la justice et de la démocratie. La réaction de la société civile face à ces poursuites pourrait également déterminer l’avenir des lois sur le cyberharcèlement.