Jean-Pierre Farandou : ses mots sur l’autisme créent la controverse

Introduction : Le 15 octobre 2025, sur France 2, le ministre du Travail Jean-Pierre Farandou a suscité l’indignation en utilisant le terme “autiste” pour évoquer la réforme des retraites. Cette déclaration a provoqué une vive réaction de la part d’associations et d’élus de gauche, remettant en question l’usage de ce mot. Les réseaux sociaux s’enflamment, et le ministre présente des excuses.

Ce qu’il faut retenir

Jean-Pierre Farandou a déclaré : “On n’est pas sourd, on n’est pas autiste” en parlant de la réforme des retraites.
Cette phrase a été largement critiquée par des associations de défense des droits des personnes autistes.
Le ministre a présenté ses excuses sur X, affirmant que ses propos avaient blessé.
Des élus de gauche, comme Marley Charlotte Garin, ont dénoncé cette utilisation du mot “autiste”.
Le collectif handicap a qualifié cette déclaration de “faute”.

Faits vérifiés

Les médias tels que France 24 et Le Monde ont rapporté que Jean-Pierre Farandou, ancien patron de la SNCF, a utilisé le terme “autiste” dans un contexte inapproprié lors d’une interview. Cette déclaration a été perçue comme stigmatisante et a entraîné des réactions immédiates de la part d’associations de défense des droits des personnes en situation de handicap.

Le détail qui fait réagir

La phrase choc de Farandou, “on n’est pas autiste”, a provoqué une onde de choc, soulignant l’importance de la sensibilité linguistique dans le discours public, surtout venant d’un ministre des solidarités.

Réactions officielles et citations

« Être autiste n’est pas un défaut d’intelligence ou d’empathie. » — Marley Charlotte Garin, Élue, 15 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette controverse met en lumière les enjeux de la communication politique et la nécessité d’une plus grande sensibilité envers les personnes en situation de handicap. Les mots ont un poids, et l’utilisation inappropriée de termes comme “autiste” peut renforcer des stéréotypes nuisibles. La réaction rapide des réseaux sociaux témoigne de l’importance croissante de ces questions dans le débat public.