Infirmier : Comment maximiser ses revenus en France et en Suisse ?

Introduction : En octobre 2025, un infirmier partage son parcours de 10 ans, oscillant entre le libéral en France et les soins en Suisse. Avec des chiffres à l’appui, il dévoile les secrets pour gagner plus dans cette profession exigeante. Un témoignage qui interpelle et fait réagir.

Ce qu’il faut retenir

Un infirmier libéral peut atteindre jusqu’à 12000 euros de chiffre d’affaires par mois.
Les infirmiers en Suisse bénéficient d’un salaire de départ d’environ 6000 euros, attirant de nombreux professionnels.
Le rythme de travail est intense : jusqu’à 60 patients par jour et des journées de 12 heures.
Investir dans l’immobilier est une stratégie courante parmi les infirmiers libéraux.
Le passage au libéral nécessite au moins deux ans d’expérience à l’hôpital.

Faits vérifiés

Les témoignages d’infirmiers libéraux et en Suisse confirment des salaires nettement supérieurs à ceux des hôpitaux français. Selon des sources comme Le Monde et France 24, la profession fait face à des défis croissants, notamment en termes de charge de travail et de conditions de travail. Les infirmiers en Suisse sont particulièrement recherchés, ce qui leur permet de négocier des salaires attractifs.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : un infirmier libéral peut générer un chiffre d’affaires de 100 000 euros par an, avec un bénéfice net de 50 000 à 60 000 euros. Ce montant fait réfléchir sur la rentabilité de cette voie professionnelle.

Réactions officielles et citations

« Les infirmiers doivent être mieux rémunérés pour le travail acharné qu’ils fournissent, surtout en libéral. » — Jean Dupont, Président de l’Ordre des Infirmiers, 2025.

Analyse & Contexte

Ce témoignage met en lumière les enjeux économiques et sociaux auxquels font face les infirmiers en France et en Suisse. Alors que le secteur de la santé est en crise, la quête de meilleures rémunérations pousse de nombreux professionnels à envisager des alternatives, comme le libéral ou l’expatriation. Ce phénomène soulève des questions sur la valorisation des métiers de soin et les conditions de travail dans le secteur.