Faux Attaque de Tigre et Politique Brésilienne : Ce Que Vous Devez Savoir

Introduction : Le 14 novembre 2025, des vidéos sensationnelles circulent sur les réseaux sociaux, prétendant montrer un tigre attaquant un humain en Maharashtra et une Brésilienne accusant Rahul Gandhi de manipulation électorale. Ces allégations, pourtant, cachent une réalité bien différente, alimentant la désinformation à l’ère numérique.

Ce qu’il faut retenir

Une vidéo prétendant montrer une attaque de tigre en Maharashtra est en réalité générée par intelligence artificielle.
Larissa Nery, une coiffeuse brésilienne, dément les accusations de vote multiple liées à son image utilisée par Rahul Gandhi.
Des rumeurs sur Tata Motors entrant dans le marché des deux-roues sont également fausses, selon les déclarations officielles de l’entreprise.
Des vidéos d’une prétendue protestation de migrants musulmans à New York sont également des créations numériques trompeuses.
Des circulaires falsifiées concernant l’Université Dev Bhoomi Uttarakhand ont été démasquées comme étant des canulars.

Faits vérifiés

Les médias fiables, tels que NDTV et PIB Fact Check, ont confirmé que la vidéo de l’attaque de tigre est une fabrication numérique. De plus, Larissa Nery a été interviewée par plusieurs outlets, où elle a exprimé son choc face à l’utilisation de son image sans consentement. Les autorités universitaires ont également démenti l’existence de la circulaire prétendument émise par Dev Bhoomi Uttarakhand University.

Le détail qui fait réagir

Le fait que Larissa Nery ait été utilisée sans son accord pour des allégations de vote multiple en Inde soulève des questions éthiques sur l’utilisation des images dans le discours politique.

Réactions officielles et citations

« C’est une honte d’utiliser des images de personnes innocentes pour manipuler l’opinion publique. » — Larissa Nery, Coiffeuse, 2025.

Analyse & Contexte

Ces événements illustrent l’impact croissant de la désinformation sur les réseaux sociaux, où des vidéos et images peuvent être facilement manipulées pour servir des agendas politiques. La viralité de ces contenus pose un défi majeur pour la vérification des faits et la responsabilité des plateformes numériques.