Examen du permis de conduire : Reprise des sessions en décembre

Introduction : En décembre 2025, la République du Congo relance les examens du permis de conduire, une décision cruciale pour la sécurité routière. Cette initiative vise à régulariser les auto-écoles et à améliorer la formation des conducteurs. Les détails de cette opération sont révélateurs des enjeux de transport dans le pays.

Ce qu’il faut retenir

Les examens du permis de conduire reprendront en décembre 2025, après une suspension prolongée.
La durée d’agrément des auto-écoles est désormais fixée à 5 ans, facilitant l’investissement dans le secteur.
Les inscriptions pour les agréments sont ouvertes jusqu’au 30 octobre 2025.
Les sessions concernent tous les métiers liés au transport routier, y compris les taxis motos.
Cette initiative vise à réduire les accidents mortels sur les routes congolaises.

Faits vérifiés

Selon des sources fiables comme la Direction Générale des Transports Terrestres (DGTT), la reprise des examens de permis de conduire est motivée par la nécessité de réguler les auto-écoles. Le décret 2011 491 a été modifié pour fixer une durée d’agrément, répondant ainsi aux normes régionales. Cette décision a été relayée par plusieurs médias, soulignant l’importance de la sécurité routière.

Le détail qui fait réagir

Un chiffre marquant : la durée d’agrément des auto-écoles, désormais fixée à 5 ans, est un changement majeur qui pourrait transformer le paysage du transport au Congo. Cela permet aux entreprises de mieux planifier leurs investissements.

Réactions officielles et citations

« Nous voulons réduire les taux de mortalité sur nos voies et rendre nos routes plus sûres. » — Atali Mopaya, Directeur Général des Transports Terrestres, 18 octobre 2025.

Analyse & Contexte

Cette relance des examens s’inscrit dans un contexte de sécurité routière accrue, face à une augmentation des accidents mortels. En harmonisant les règles d’agrément, le gouvernement congolais s’aligne sur des standards internationaux, tout en répondant aux préoccupations des usagers de la route. Cela pourrait également stimuler l’économie locale en favorisant la création d’emplois dans le secteur du transport.