27.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 30 Views 0 Comments

Évolution de la déclaration anticipée d’euthanasie pour les patients atteints de démence

Mise à jour le 2025-12-27 07:58:00 : Le Comité consultatif de bioéthique belge propose d’inclure l’euthanasie pour les personnes atteintes de démence irréversible.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Le débat sur l’euthanasie pour les patients atteints de démence est relancé. Le Comité consultatif de bioéthique a recommandé d’ouvrir la voie à cette pratique via une demande anticipée. Actuellement, la loi belge ne permet pas l’euthanasie pour les patients en état de démence avancée qui ne peuvent plus s’exprimer.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Le Comité propose d’inclure l’euthanasie pour les patients atteints de démence dans la déclaration anticipée.
Qui est concerné : Les patients atteints de démence irréversible.
Quand : Recommandation récente, en attente de décision législative.
Où : Belgique.

Chiffres clés

0 : Nombre de patients atteints de démence pouvant actuellement demander l’euthanasie.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Possibilité d’accéder à l’euthanasie pour les patients atteints de démence.
Démarches utiles : Élaboration d’une déclaration anticipée précise.
Risques si vous n’agissez pas : Perte de la possibilité de choisir l’euthanasie.

Contexte

La question de l’euthanasie pour les patients atteints de démence est au cœur des débats éthiques en Belgique. Actuellement, un patient en état de démence avancée ne peut pas exprimer sa volonté, ce qui crée une iniquité par rapport à d’autres maladies comme le cancer. Le Comité consultatif de bioéthique souligne l’importance d’une déclaration anticipée détaillée pour définir la souffrance et les causes de celle-ci.

Ce qui reste à préciser

Les modalités précises de mise en œuvre de la déclaration anticipée.
Les critères d’évaluation des signes divergents chez le patient.

Citation

« Quelqu’un qui souffrirait d’un cancer très délabrant pourra dire, ‘voilà, moi, maintenant, je veux activer l’euthanasie’. Mais ces personnes-là [atteintes de démence] ne peuvent pas. » — Virginie Pirard, présidente du Comité consultatif de bioéthique, 2025.