05.12.2025 Cédric Balcon-Hermand 0 Views 0 Comments

Études à l’étranger: l’Asie attire, l’Occident recule; bourses, anglais et emplois à la clé

Part USA–UK–Canada–Australie à 35% (40% en 2020), l’Asie progresse avec frais souvent plus bas.

Les étudiants asiatiques se tournent moins vers l’Occident. Les destinations américaines, britanniques, canadiennes et australiennes reculent. En Asie, les diplômes coûtent moins et gagnent en réputation. Conséquence directe: des choix d’études et d’emploi qui se déplacent vers l’Est.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : l’Asie gagne des parts dans l’accueil d’étudiants internationaux.
Qui est concerné : candidats à l’expatriation, familles, universités et recruteurs.
Quand : tendance confirmée en 2025, avec des jalons à 2024 et 2030.
Où : Japon, Corée du Sud, Taïwan, Hong Kong; USA, Royaume-Uni, Canada, Australie.

Chiffres clés

35% des étudiants internationaux accueillis par USA–UK–Canada–Australie en 2025 (40% en 2020).
337 000 étudiants internationaux au Japon en 2024 (+21% sur un an).

Concrètement, pour vous

Ce qui change : davantage d’options abordables en Asie et plus de cours en anglais.
Démarches utiles : comparer frais et bourses au Japon, en Corée, à Taïwan; vérifier la langue d’enseignement.
Risques si vous n’agissez pas : intégration professionnelle freinée par la langue locale.
Exceptions : non mentionnées.

Contexte

Des règles d’immigration plus strictes pèsent sur l’Occident. Des universités asiatiques montent dans les classements et proposent plus de cours en anglais. Le Japon, la Corée du Sud et Taïwan affichent des objectifs ambitieux, et Hong Kong relève à 50% la part d’étrangers en licence. Le volume mondial d’étudiants mobiles pourrait atteindre 8,5 millions d’ici 2030. L’obstacle majeur reste la langue sur les marchés du travail locaux.