Uganda’s Historic Trials: Refugee Athletes Aim for Olympic Glory

Introduction : Le 5 novembre 2025, au Mandela National Stadium, l’Ouganda a organisé des essais nationaux inédits pour les athlètes réfugiés. Plus de 100 jeunes talents ont concouru pour une place dans la première équipe nationale d’athlétisme pour réfugiés du pays, qui représentera l’Ouganda aux Jeux Olympiques de la Jeunesse et aux Jeux Olympiques. Un moment marquant pour l’inclusion et l’espoir dans le sport.

Ce qu’il faut retenir

Plus de 100 athlètes réfugiés ont été sélectionnés de quatre établissements pour concourir.
Adjumani a dominé les épreuves avec 11 victoires sur 16 catégories.
Les épreuves comprenaient des sprints et des courses de demi-fond, avec des performances impressionnantes.
Le programme vise à préparer les athlètes pour les Jeux Olympiques de la Jeunesse à Dakar et les JO de 2028 à Los Angeles.
Les organisateurs, dont le Comité Olympique Ougandais, soulignent l’importance de l’inclusion sociale à travers le sport.

Faits vérifiés

Les essais ont été confirmés par plusieurs médias, dont l’AFP et la BBC. Ces événements marquent une étape significative pour les athlètes réfugiés, leur offrant une plateforme pour poursuivre leur carrière sportive malgré les défis auxquels ils font face.

Le détail qui fait réagir

Adjumani a remporté 11 médailles, un chiffre qui illustre la force et le potentiel des athlètes réfugiés, captivant l’attention du public et des médias.

Réactions officielles et citations

« C’est très inspirant pour ces athlètes. Nous continuerons à les entraîner en vue de la sélection finale l’année prochaine. » — Gonzalo Barrio, Responsable de l’équipe olympique des réfugiés, 5 novembre 2025.

Analyse & Contexte

Ces essais nationaux ne sont pas seulement une compétition sportive, mais un symbole d’espoir et d’inclusion. Ils soulignent l’engagement de l’Ouganda à intégrer les réfugiés dans la société par le biais du sport, offrant une voie vers la réhabilitation et le bien-être mental. L’événement attire l’attention sur la nécessité de soutenir les athlètes réfugiés, qui souvent n’ont pas la possibilité de concourir pour leur pays d’origine.